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Redécouvrir la Comtesse de Ségur

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Speedou

Speedou
Admin
Admin

La Comtesse de Ségur


Redécouvrir la Comtesse de Ségur Wood810

Qui ne se souvient pas ou n'a jamais entendu parlé de cette fameuse comtesse ?

Voilà un sujet qui servira de piqûre de rappel et pour les autres d'une découverte.....


Qui était cette comtesse ?

Redécouvrir la Comtesse de Ségur Sophie11
La Comtesse de Ségur en 1841

Sophie Rostopchine, comtesse de Ségur (selon l'onomastique russe Sofia Fiodorovna Rostoptchina, cyrillique : Софья Фёдоровна Ростопчина), née le 1er août 1799 à Saint-Pétersbourg, morte le 9 février 1874 à Paris, est une femme de lettres française d'origine russe.



Elle est issue d’une grande famille aristocratique d'origine princière dont la généalogie remonte aux Khans mongols de la Horde d'Or et à la famille de Genghis Khan.

Son père est le comte Fédor Rostoptchine (1763-1826), qui a été lieutenant-général puis ministre des Affaires étrangères du tsar Paul Ier, parrain de Sophie. Sa mère est la comtesse Catherine Protassova, ancienne demoiselle d'honneur de Catherine II. Sophie est la troisième enfant du couple.

Elle passe son enfance dans le domaine de Voronovo près de Moscou, propriété de 45 000 ha où travaillent 4 000 serfs, où Fédor Rostoptchine fait venir des agronomes écossais.

Redécouvrir la Comtesse de Ségur Vorono10

Redécouvrir la Comtesse de Ségur Vorono11

Voronovo se trouve dans la campagne pittoresque à 35 km au sud de Moscou.

Elle reçoit l'éducation des enfants de l'aristocratie russe, qui privilégie l'apprentissage des langues étrangères, du français en premier lieu. Adulte, elle sera une polyglotte, connaissant cinq langues.

C'est aussi une petite fille turbulente, souvent punie par ses parents. Sa mère la maltraite et l'oblige à se convertir au catholicisme à treize ans

Redécouvrir la Comtesse de Ségur Pes_1210

Feodor Vassilievitch Rostopchine

En 1812, lors de l'invasion de la Russie par la Grande Armée, son père est gouverneur de Moscou. Il lance des pamphlets contre Napoléon, fait évacuer les pompes à incendie et libère des prisonniers avec la mission de mettre le feu chacun à un quartier. L'incendie de Moscou qui en résulte, qui fera dire à Sophie « J'ai vu comme une aurore boréale sur la ville »[réf. nécessaire], contraint Napoléon à une retraite désastreuse. La réussite de ce plan entraîne cependant l'hostilité de ceux qui ont perdu leur habitation, aristocrates comme commerçants, si bien que Fédor Rostoptchine est disgracié par le tsar et préfère s’exiler, seul avec simplement un domestique, en Pologne en 1814, puis en Allemagne, en Italie et, enfin, en France en 1817. Dans tous ces pays, il est accueilli en héros, sauveur de la monarchie.

En 1819, Sophie épouse le Comte Eugène de Ségur. Lors de son voyage de noces, Sophie remarque un joli château en briques roses près de L'Aigle. Les bouleaux du parc lui rappellent son domaine de Voronovo. C'est le domaine des Nouettes à Aube (Orne). Son père lui offre et le jeune couple s'y installe mais le Comte de Ségur ne se plaît pas trop à la campagne. Négligée par son mari, souvent à Paris, Sophie se plaît bien à Aube. Elle aura 8 enfants dont 5 naîtront aux Nouettes.Quand ses petits enfants naîtront, comme beaucoup de grand-mères, elle leur racontera des histoires. Et quand Camille et Madeleine ("Les petites filles modèles") devront partir pour Londres où leur papa est nommé, elle commencera à écrire toutes les histoires qu'elle raconte. C'est comme cela que Sophie de Ségur née Rostopchine devint écrivain à plus de cinquante ans.



L’entrée en littérature de Sophie Rostopchine est tardive, mais presque immédiate. Elle écrit son premier roman en 1855, à 56 ans, pour distraire ses deux petites filles Camille et Madeleine (alias Les petites filles modèles), parties vivre à Londres.
Il se trouve que le comte de Ségur est président des Chemins de fer de l’Est. Sollicité par Louis Hachette, il lui accorde le monopole de la vente dans les gares de livres pour enfants, et présente sa femme à l’éditeur quelque temps plus tard. Celle-ci signe son premier contrat en octobre 1855. Le succès de ce premier ouvrage l’encourage à composer un ouvrage pour chacun de ses autres petits enfants.


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Le comte Louis de Ségur


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Louis Hachette
En 1860, Louis Hachette institue la collection de la Bibliothèque rose où sont désormais publiés les ouvrages de la comtesse de Ségur.

Par la suite, elle obtient que les droits d'auteur lui soient directement versés9 et discute plus fermement de ses droits d'auteur lorsque son mari lui coupe les fonds.

Elle publie plus de 20 romans dans la bibliothèque rose mettant en scène des enfants dans leur vie quotidienne. Chez la Comtesse, le bien l'emporte toujours sur le mal et on peut toujours corriger ses défauts. Ses récits restent toujours appréciés des enfants. La Comtesse de Ségur meurt à Paris en 1874. Maintenant l'école d'Aube porte son nom en son honneur.

Les romans de la comtesse de Ségur ont d'abord été publiés illustrée chez Hachette entre 1857 et 1872, dans la Bibliothèque rose à partir de 1860.

La dernière grande édition est celle de 1990, dans la collection « Bouquins » chez Robert Laffont.

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Louis Gaston Adrien de Ségur

Les romans de la comtesse de Ségur, fortement moralisateurs, ont été influencés par la relecture et les corrections faites par son fils aîné, le prélat Louis-Gaston de Ségur. Le juste et l’injuste s’opposent pour bien faire comprendre ce qu’est le droit chemin et combien il est dans l’intérêt de tous d’être courageux, doux et sans mauvaises intentions.

Dans les romans de la comtesse de Ségur, l’éducation est un facteur déterminant dans l’évolution de l’individu. Les mauvaises influences et un environnement répressif peuvent pousser les enfants à être méchants. Trop de laxisme et d’indulgence les rendent égoïstes et vicieux.

Le thème récurrent des châtiments corporels (Un bon petit diable, Le Général Dourakine, Les Malheurs de Sophie, Les Petites Filles modèles…), qui fait peut-être écho à sa propre enfance malheureuse avec sa mère Catherine Protassov, a souvent été présenté comme l’aspect de cette œuvre à avoir le moins bien vieilli ; mais il marque une rupture avec les modèles antérieurs de la littérature enfantine, notamment le modèle des contes merveilleux des contes de Perrault ou des contes de Madame d'Aulnoy). Chez la comtesse de Ségur, la rédemption est d’autant plus exemplaire que le réalisme de la représentation a été sans complaisance.

Plusieurs autres aspects de son oeuvre peuvent sembler désuets par rapport à la vie des Français d’aujourd’hui : par exemple, le vouvoiement des parents, le statut des domestiques, les traitements médicaux tels que l’usage abusif de sangsues, des saignées, des cataplasmes « saupoudrés de camphre » (Les Petites Filles modèles), l’eau de gomme fraîche, l’eau salée contre la rage, et ainsi de suite. Mais c’est peut-être[évasif] ce réalisme dans la représentation du quotidien et de ses détails qui valut à la comtesse de Ségur d’être appelée le Balzac des enfants par Marcelle Tinayre.

Ses œuvres présentent souvent les clichés xénophobes de l'époque : Écossais avares sordides, Arabes méchants sabreurs, Polonais buveurs et sales, Russes knoutant leurs femmes, serfs et bonnes, etc.

En 2010, 29 millions d'exemplaires de ses ouvrages ont été vendus



Elle commence à écrire pour Camille et Madeleine qui sont parties loin d'elle. C'est le début d'une carrière d'écrivain. La bonne grand-mère écrira 20 romans, un pour chacun de ses petits enfants.

-1856 : Les Nouveaux Contes de fées (décembre) : recueil de contes dont « Histoire de Blondine, de Bonne-Biche et de Beau-Minon » , « Le bon petit Henri », « La petite souris grise » et « Ourson ».
-1858 : Les Malheurs de Sophie.
-1859 : Les Vacances. Ce livre est également présenté par l'auteur comme la suite des Malheurs de Sophie.
-1860 : Mémoires d'un âne (LSDE, à partir du 17 décembre 1859)
-1861 : Pauvre Blaise (LSDE, à partir du 13 juillet 1861)
-1862 : La Sœur de Gribouille (LSDE, à partir du 22 mars 1862)
-1862 : Les Bons Enfants (LSDE, à partir du 13 août 1862)
-1863 : Les Deux Nigauds (LSDE, à partir du 4 octobre 1862).
-1863 : L'Auberge de l'Ange gardien (LSDE, à partir du 8 avril 1863).
-1863 : Le Général Dourakine (LSDE, à partir du 14 novembre 1863).
-1864 : François le bossu (LSDE, à partir du 4 mai 1864)
-1865 : Un bon petit Diable (LSDE, à partir du 14 décembre 1864).
-1866 : Comédies et proverbes : recueil de nouvelles dont « Les caprices de Gizelle», « Le dîner de Mademoiselle Justine », « On ne prend pas les mouches avec du vinaigre », « Le forçat, ou à tout péché miséricorde » et « Le petit De Crac ».
-1865 : Jean qui grogne et Jean qui rit
-1866 : La Fortune de Gaspard, un roman avec des accents balzaciens, contrairement aux autres romans de la comtesse de Ségur
-1867 : Quel amour d’enfant !
-1867 : Le Mauvais Génie
-1868 : Le Chemineau, ultérieurement retitré Diloy le chemineau (11 avril)
-1871 : Après la pluie, le beau temps

Œuvres didactiques


1855 : La Santé des enfants, un livre de pédiatrie de conseils médicaux, édité à compte d’auteur, réédité dès 1857
1857 : Livre de messe des petits enfants, chez Douniol éd., réédité en 2012 par St JUDE éd.
1865 : L’Évangile d’une grand-mère
1867 : Les Actes des Apôtres (du nom d’un chapitre de la Bible : Actes des Apôtres)
1869 : La Bible d’une grand-mère

Adaptations cinématographiques et télévisuelles

Cinéma

-1946 : Les Malheurs de Sophie, film de Jacqueline Audry avec Madeleine Rousset, Marguerite Moreno et Michel Auclair
-1952 : Les Petites Filles modèles, court métrage d'Eric Rohmer
-1971 : Les Petites Filles modèles, film de Jean-Claude Roy avec Marie-Georges Pascal, Michèle Girardon et François Guérin
-1980 : Les Malheurs de Sophie, film de Jean-Claude Brialy avec Paprika Bommenel, Sandra Gula, Carine Richard et Annie Savarin
-1983 : Un bon petit diable, film de Jean-Claude Brialy avec Paul Courtois, Alice Sapritch et Bernadette Lafont
-1993 : La Fortune de Gaspard, film de Gérard Blain avec Vincent de Bouard, Gamil Ratib, Anne Kreis et Jean-Paul Wenzel

Télévision

-1962 : L'Auberge de l'Ange gardien, téléfilm de Marcel Cravenne (Le Théâtre de la jeunesse) avec Hervé Sand et Jacques Dufilho
-1963 : Le Général Dourakine, téléfilm d'Yves-André Hubert (Le Théâtre de la jeunesse) avec Michel Galabru et Claude Winter
-1964 : La Sœur de Gribouille, téléfilm d'Yves-André Hubert (Le Théâtre de la jeunesse) avec Dominique Maurin et René Dary
-1966 : Les Deux Nigauds, téléfilm de René Lucot (Le Théâtre de la jeunesse) avec Denise Gence et Monique Tarbès
-1998 : Les Malheurs de Sophie, série de dessins animés de Bernard Deyriès

Voici deux lien qui vous feront découvrir les 20 romans et oeuvres didactiques en fichier PDF

http://beq.ebooksgratuits.com
http://fr.wikisource.org

Quand il faisait beau, elle écrivait ses histoires sur une table en pierre qui est toujours dans le parc. Comme elle était très croyante, elle a fait construire une petite chapelle dans le parc qui existe toujours. Le château a trois étages. A chaque angle du château, il y a des rangs de briques.
Autour du château, il y a beaucoup d'arbres et de fleurs. Il y a des bâtiments qui n'existaient pas (les classes) et des bâtiments qui existaient comme les écuries , la chapelle et la ferme des Nouettes où Sophie allait chercher la crème.

Le château des Nouettes à Aube sera, jusqu’à sa vente en 1872, le havre de paix de la comtesse de Ségur, loin d’une vie parisienne peu enthousiasmante pour elle.

Redécouvrir la Comtesse de Ségur Nouett10

Le château des Nouettes

Redécouvrir la Comtesse de Ségur Chatea10

Le château a beaucoup changé, ses étages sont occupés par des bureaux administratifs et des logements. Vers 1950, il a servi de Sanatorium. Les écuries sont devenues des classes et des dortoirs, l'entrée a été goudronnée, avant c'était un chemin de terre. Aujourd'hui, ce château ne se visite pas. C'est un Institut médico-pédagogique, il faut demander l'autorisation pour entrer dans le parc. Des enfants vivent et travaillent aux Nouettes avec leurs éducateurs.

Les souvenirs de la Comtesse sont conservés dans un autre lieu, dans un musée près de l'église.

http://www.musee-comtessedesegur.com

Les Nouettes sont situées sur la route entre Paris et Cherbourg, et c’est juchés sur la barrière des Nouettes que les six enfants Ségur contempleront le 3 août 1830 le passage d’un attelage royal : celui de Charles X, en fuite après les Trois glorieuses.

Eugène devient pair de France en août suivant. Son entrée en politique l’éloigne encore davantage de sa femme et de ses sept enfants : Gaston, né en 1820, Anatole (1823), Edgar (1825), Nathalie (1827), les jumelles Sabine et Henriette (1829) et Olga (1835). Sophie ne se remettra jamais parfaitement de cette dernière naissance.

Voici quelques autres lieux où la comtesse de Ségur et ses proches ont vécu :

- le 55 rue de Lille est l’adresse de Mme de Ségur, mère d’Eugène,
- Gaston rentre en 1843 au séminaire d’Ivry. Fin 1847, il emménage 32 rue Cassette, puis 39 rue du Bac en 1856,
- après la mort de son mari en juillet 1863 au château de Méry-sur-Oise chez son frère Adolphe, Sophie déménage du 91 au 53 rue de Grenelle,
- Olga et son mari vivent 110 rue Saint-Dominique,
- Anatole demeure 120 rue du Bac,
- dans les années 1860, la comtesse vit entre Les Nouettes, Kermadio [1] chez sa fille Henriette et Bruxelles, où vit maintenant Nathalie.

Elle entre dans les ordres en 1866 et continue à écrire. Elle est victime d’une congestion cérébrale en 1869 et part ensuite à Kermadio reprendre des forces. La guerre de 1870 l’oblige à y prolonger son séjour. L’effondrement consécutif des ventes de ses livres l’oblige à vendre Les Nouettes.

Sophie décède en 1874 à sa dernière adresse parisienne, le 27 rue Casimir Périer.

Sources :

http://meshistoiresdautrefois.hautetfort.com
http://www.terresdecrivains.com
http://sophiedesegur.pagesperso-orange.fr
http://veronique-61.over-blog.com
http://www.geneall.net
http://chs.univ-paris1.fr
http://tours-tv.com
http://fr.wikipedia.org
http://ecole.comtesse.pagesperso-orange.fr
http://rvcontes.blogspot.be
http://lidicel.free.fr

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