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La Planète des singes : les origines

2 participants

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Jenifaël

Jenifaël
Drôles de Dames
Drôles de Dames

La Planète des singes : les origines



Synopsis :
Dans un laboratoire, des scientifiques expérimentent un traitement sur des singes pour vaincre la maladie d’Alzheimer. Mais leurs essais ont des effets secondaires inattendus : ils découvrent que la substance utilisée permet d’augmenter radicalement l’activité cérébrale de leurs sujets. César, est alors le premier jeune chimpanzé faisant preuve d’une intelligence remarquable. Mais trahi par les humains qui l’entourent et en qui il avait confiance, il va mener le soulèvement de toute son espèce contre l’Homme dans un combat spectaculaire.



Avis :
J'ai adoré le premier volet et je dois dire que celui là ne m'a pas du tout déçu ! Je l'ai trouvé génial ! Ce film montre la cruauté de l'humanité. On scande souvent notre supériorité par rapport aux animaux en mettant en avant cette "humanité" et quand on voit avec qu'elle cruauté on traite ces animaux dans les laboratoires, c'est vraiment l'hôpital qui ce fout de la charité. Enfin bref j'ai adoré le film qui même si il n'y a pas beaucoup de dialogue, il est très émouvant et très vrai.


Et vous qu'en pensez vous ?


Speedou

Speedou
Admin
Admin

Je vais y aller quand j'aurai un peu de temps !

D'après ce que tu en dis, le film est plus que bien ! On verra !

Merci pour cette information Jeni !

Tiberius, Very Happy

Jenifaël

Jenifaël
Drôles de Dames
Drôles de Dames

contente de t'avoir donné envie Speedou Smile et de rien ça me fait plaisir ^^

Je vais voir Cowboy et envahisseur demain je vous ferais le topo ^^

Speedou

Speedou
Admin
Admin

La Planète des singes est un roman dystopique de science-fiction, écrit en 1963 par l'écrivain français Pierre Boulle.

(Une dystopie — ou contre-utopie — est un récit de fiction peignant une société imaginaire organisée de telle façon qu'elle empêche ses membres d'atteindre le bonheur et contre l'avènement de laquelle l'auteur entend mettre en garde le lecteur. La dystopie s'oppose à l'utopie : au lieu de présenter un monde parfait, la dystopie propose un des pires qui soit. La différence entre dystopie et utopie tient moins au contenu (car, après examen, nombre d'utopies positives peuvent se révéler effrayantes) qu'à la forme littéraire et à l'intention de son auteur).

Pierre Boulle, né le 21 février 1912 en Avignon et mort le 30 janvier 1994 à Paris1, est un écrivain français, auteur du Pont de la rivière Kwai en 1952 et de La Planète des singes en 1963.

Son père, un avocat excentrique, écrit sur le théâtre dans un journal, avant d'épouser la fille du directeur de ce journal, Thérèse, sage et très catholique. Pierre a une grande complicité avec son père. Tous deux adorent la littérature, les livres, la chasse et les jeux. Rien ne trouble l'enfance tranquille que Boulle a passé en famille avec ses sœurs Suzanne et Madeleine, pas même la Première Guerre mondiale. Vers la fin de la guerre, en 1918, il entre au lycée d'Avignon. Soudain, c'est le drame : son père meurt d'une maladie du cœur en 1926. L'adolescent est malgré lui projeté dans le monde adulte. Finis, la chasse, les jeux et même l'amour des livres. Son but désormais est de devenir ingénieur avec une formation (Supélec), pour aider sa mère. À 24 ans, Boulle se retrouve dans la forêt tropicale de Malaisie, à 50 kilomètres de Kuala Lumpur, la capitale. Pendant trois ans, il travaillera comme un forcené, loin de l'Europe.

En 1939, la Seconde Guerre mondiale ravage le monde. En 1941, Boulle, qui est toujours en Asie, rejoint la France libre à Singapour où il devient officier de liaison (sous-lieutenant) du commandant Baron, responsable de la France Libre auprès des Britanniques. Après un entraînement spécial et muni d'un faux passeport anglais, sous l'identité de Peter John Rule, il part en mission contre les Japonais, alliés des Allemands. En 1942 il est capturé par des militaires français du gouvernement de Vichy qui le condamnent aux travaux forcés à perpétuité. Deux ans plus tard, en 1944, il parvient à s'évader de Saïgon et rejoint la Force 136 du SOE en Asie du Sud-Est à Calcutta.

Après la guerre, lorsqu'il retrouve la France libérée par le général de Gaulle et les Forces françaises libres, on le couvre de médailles pour ses exploits. En 1950, il se décide à écrire des romans, et c'est ainsi qu'il publie un roman d'aventures, Le Pont de la rivière Kwai en 1952 et un roman de science-fiction, La Planète des singes en 1963.


Adaptations

Films

1968 : La Planète des singes (Planet of the Apes) de Franklin J. Schaffner
La Planète des singes : les origines  80723211
Parti en 1972, l'engin spatial américain Icare, avec à son bord quatre membres d'équipage, traverse une brèche de l'espace-temps à la vitesse de la lumière. Au terme d'un voyage de 18 mois, le vaisseau s'écrase en 3978 sur une mystérieuse planète, au cœur d'une région désertique. Les trois survivants du crash, le capitaine George Taylor, ainsi que les lieutenants John Landon et Thomas Dodge, découvrent très vite que ce monde est peuplé d'hommes primitifs dominés par une race de singes très évolués. Bientôt, Dodge est abattu par les singes, Landon capturé, de même que Taylor, de surcroît blessé à la gorge. Deux scientifiques, Zira et Cornélius, s'intéressent de près à Taylor...

Distribution

Charlton Heston (V.F : Georges Aminel) : Le capitaine George Taylor
Roddy McDowall (V.F : Serge Lhorca) : Dr. Cornélius
Kim Hunter (V.F : Arlette Thomas) : Dr. Zira
Maurice Evans (V.F : Jean Martinelli) : Dr. Zaius, ministre de la Science
James Whitmore (V.F : Yves Brainville) : Le président de l'Assemblée
James Daly (V.F : Rene Beriard) : Dr. Honorious, adjoint du ministre de la Justice
Linda Harrison : Nova
Robert Gunner (V.F : Roland Menard) : Le lieutenant John Landon
Jeff Burton (V.F : Med Hondo) : Le lieutenant Thomas Dodge
Lou Wagner (V.F : Philippe Ogouz) : Lucius
Woodrow Parfrey (V.F : Jacques Beauchey) : Dr. Maximus, Commissaire aux Affaires Animales
Buck Kartalian (V.F : Marc de Georgi) : Julius
Norman Burton (V.F : Claude Bertrand) : Leader des chasseurs
Paul Lambert (V.F : Gerard Ferat) : Prêtre du culte simiesque

Le projet de ce film était vu par les producteurs d'Hollywood comme risqué et ambitieux et ceux-ci hésitaient à le financer. Franklin J. Schaffner, alors introduit sur ce projet par Charlton Heston, réalisa une scène-test, mettant en scène un dialogue entre Charlton Heston et le singe Zaius, interprété alors par Edward G. Robinson, afin de convaincre les producteurs sur le travail de qualité des maquillages de John Chambers. La scène faisant son effet, un budget de six millions de dollars fut alloué au projet. Une trentaine d'années plus tard, le remake de Tim Burton eut droit à un budget de cent millions de dollars sans hésitation.

Dans le roman, les singes sont plus avancés technologiquement que dans le film. Ils ont des automobiles, des téléviseurs, des avions. La société simienne est plus primitive dans le film à cause d'un budget restreint.

1970 : Le Secret de la planète des singes (Beneath the Planet of the Apes) de Ted Post
La Planète des singes : les origines  Le-sec10
En 1972, la NASA a perdu le contact avec l'équipage du vaisseau Icare. Une mission de secours est lancée, composée de deux astronautes : le capitaine Donovan Maddox et le lieutenant John Brent. Suivant le même itinéraire que Taylor et son équipage, les deux hommes s'écrasent à leur tour sur la planète des singes. Unique survivant du crash, Brent découvre que la planète, en plus d'être gouvernée par les singes, abrite également une race de mutants humains télépathes. Ces derniers, qui vouent un culte à la bombe nucléaire, ont élu domicile dans ce que les singes nomment la "zone interdite", qui n'est autre que New York en ruines. Or, le belliqueux général Ursus projette de l'envahir, car les singes sont menacés de famine...

Distribution

James Franciscus : Le lieutenant John C. Brent
Charlton Heston : Le capitaine George Taylor
David Watson : Dr. Cornélius
Kim Hunter : Dr. Zira
Maurice Evans : Dr. Zaïus
Paul Richards : Mendez XXVI
Victor Buono : le gros homme
James Gregory : Le général Ursus
Linda Harrison : Nova
Jeff Corey : Caspay
Natalie Trundy : Albina
Thomas Gomez : le pretre
Tod Andrews : Le capitaine Donovan A. Maddox

Charlton Heston accepta de jouer dans ce film à condition que son personnage meure, lui évitant ainsi d'apparaître dans les éventuelles suites. Dans ce deuxième épisode, le rôle de Cornelius est repris par David Watson, Roddy McDowall étant lié par ailleurs.
Orson Welles fut pressenti pour interpréter Ursus.

Dans cet opus il existe une erreur de chronologie. En effet, les secours sont censés arriver après ce qui s'est déroulé dans le 1er film , or ils arrivent sur la planète des singes en 3955 , soit 23 ans avant l'année d'arrivée dite dans le 1er film ( 3978 ).


1971 : Les Évadés de la planète des singes (Escape From the Planet of the Apes) de Don Taylor
La Planète des singes : les origines  Les-ev11
Le Docteur Milo, Zira et Cornélius, les singes les plus sensés du premier film, se retrouvent sur Terre en 1973. Peu de temps après leur arrivée, le Dr. Milo meurt dans un tragique accident, sous le regard de Zira et Cornélius. Leurs premiers jours sur la planète se passent bien et les humains les accueillent en leur faisant découvrir leur monde. Malheureusement, leur présence ne tarde pas à déranger. Le couple se trouve dans une situation d'autant plus critique que Zira est enceinte. Cependant, ils bénéficient de l'aide de certaines personnes comme Armando, le propriétaire d'un cirque qui les cache quelques heures. Zira met au monde son bébé chimpanzé et décide avec son mari Cornélius de l'appeler Milo en hommage et souvenir de leur ami le Dr. Milo. Finalement, ils sont tués comme de vulgaires criminels, et Zira parvient, dans un dernier effort, à jeter le bébé dans l'eau. Mais auparavant, celle-ci avait échangé leur bébé Milo avec celui d'un autre chimpanzé du cirque. Les dernières images du film montrent Milo dans une cage du cirque, en train d'appeler sa maman, en prononçant clairement « maman ».


Distribution

Roddy McDowall (VF : Serge Lhorca) : Cornelius
Kim Hunter (VF : Arlette Thomas) : Dr. Zira
Bradford Dillman (VF : Jacques Thébault) : Dr. Lewis Dixon
William Windom (VF : Jean Topart) : Le Président
John Randolph (VF : Jean Martinelli) : Le président du comité
Eric Braeden (VF : Gabriel Cattand) : Dr. Otto Hasslein
Natalie Trundy : Dr. Stephanie 'Stevie' Branton
Ricardo Montalban : Armando
Sal Mineo : Dr. Milo
Albert Salmi : E-1
Jason Evers : E-2
Harry Lauter : Général Winthrop
M. Emmet Walsh : Aide du Général Winthrop
Roy E. Glenn Sr. : Avocat


1972 : La Conquête de la planète des singes (Conquest of the Planet of the Apes) de J. Lee Thompson
La Planète des singes : les origines  La_con10
En 1991, les singes sont les esclaves de la race humaine, mais la révolte a sonné pour les primates. César, fils de Zira et Cornelius, est au cœur d'un épisode noir, mais représente cependant l'espoir, qu'un jour Singes et Hommes vivront en paix. Ayant grandi caché dans un cirque et élevé par un humain aux valeurs pacifiques, César apprend aux autres singes le partage, mais également ce besoin vital de révolte, laissant ainsi apparaître des soupçons de caractère humain par la colère. César est également un espoir pour la race humaine et le sort de la Terre, il sera le seul à pouvoir contrer Aldo dans un avenir proche.

Distribution

Roddy McDowall (VF : Philippe Ogouz) : César
Don Murray (VF : Gabriel Cattand) : Gouverneur Breck
Ricardo Montalban (VF : Jacques Thébault) : Armando
Natalie Trundy : Lisa
Hari Rhodes (VF : Jean-Claude Michel) : MacDonald
Severn Darden (VF : Roger Carel) : Chef Inspecteur Kolp
Lou Wagner : Garçon serveur
John Randolph : Commissaire Chairman
Asa Maynor : Mme. Riley
H.M. Wynant : Inspecteur Hoskins
David Chow : Aldo
Buck Kartalian : Frank - Gorille
John Dennis : Policier
Paul Comi : 2e Policier


1973 : La Bataille de la planète des singes (Battle for the Planet of the Apes) de J. Lee Thompson
La Planète des singes : les origines  18899410
En 2003, 12 ans après le soulèvement des singes orchestré par César, ce dernier s'efforce maintenant de gouverner son village de la façon la plus juste possible, humains et singes cohabitant en égaux, ces derniers occupant toutefois les plus hautes fonctions. Mais cet équilibre est malmené par le Général Aldo, un gorille belliqueux vouant une profonde aversion à l'égard des humains. D'autre part, César doit bientôt faire face à une colonie d'humains habitant dans les ruines de New York. Ces derniers, placés sous les ordres de l'impitoyable gouverneur Kolp, projettent en effet d'attaquer le village de César...

Distribution


Roddy McDowall : César
Claude Akins : Aldo
Natalie Trundy : Lisa
Serven Darden : Le gouverneur Kolp
John Huston : Le Législateur
Len Ayres : Mandemus
Paul Williams : Virgil

2001 : La Planète des singes (Planet of the Apes) de Tim Burton
La Planète des singes : les origines  Planet10
2029. À bord de la station orbitale Obéron, des chimpanzés sont entraînés pour effectuer des missions dans l'espace. Lorsque l'un d'eux disparaît, le capitaine Leo Davidson désobéit à ses supérieurs afin de lui porter secours. Mais il se trouve pris dans une tempête électromagnétique qui le propulse en 3002 sur une planète du nom d'Ashlar. Leo s'écrase au beau milieu d'une forêt tropicale où il est capturé avec d'autres humains par des singes très évolués. Qu'est-il arrivé sur cette planète où les singes règnent en maîtres et où l'espèce humaine est réduite à l'esclavage ? Aidé de quelques rebelles et d'Ari, la fille d'un influent sénateur simiesque, Leo va tenter de rejoindre Obéron afin de quitter Ashlar…

Distribution


Mark Wahlberg (VF : Joël Zaffarano ; VQ : Alain Zouvi) : le capitaine Léo Davidson
Tim Roth (VF : Med Hondo ; VQ : Luis De Cespedes) : le général Thade
Helena Bonham Carter (VF : Martine Irzenski ; VQ : Camille Cyr-Desmarais) : Ari
Michael Clarke Duncan (VF : Saïd Amadis ; VQ : Victor Désy) : le colonel Attar
Paul Giamatti (VF : Daniel Lafourcade ; VQ : Pierre Auger) : Limbo
Estella Warren (VF : Delphine Lalizout ; VQ : Christine Bellier) : Daena
Cary-Hiroyuki Tagawa (VF : Omar Yami ; VQ : Manuel Tadros) : Krull
David Warner (VF : Jacques Charby ; VQ : Jean-Marie Moncelet) : le sénateur Sandar
Kris Kristofferson (VF : Jean-Claude Sachot ; VQ : André Montmorency) : Karubi
Erick Avari (VF : ? ; VQ : Mario Desmarais) : Tival
Evan Parke (VF : Frantz Confiac ; VQ : Sébastien Dhavernas) : Gunnar
Luke Eberl (VF : ? ; VQ : Sébastien Reding) : Birn
Glenn Shadix (VF : Jacques Ciron ; VQ : Yves Massicotte) : le sénateur Nado
Lisa Marie (VF : Daniele Douet): Nova
Eileen Weisinger : Leeta
Anne Ramsay : Grace Alexander
Linda Harrison : la femme dans le chariot
Charlton Heston (VF : ? ; VQ : Claude Préfontaine) : le sénateur Zaïus, père de Thade

Il s'agit d'un reboot du film de 1968,bien que reprenant le thème de 1968, le reboot de 2001 escamote tous les éléments subversifs traités en 1968 : opposition à la bombe nucléaire, contestation de la domination de l'être humain, critique de la société de consommation. Le seul fait non dénaturé sont les derniers mots dans le film de Tim Burton, « que les hommes soient maudits, qu'ils soient mille fois maudits », évoquent fortement la malédiction finale adressée à l'humanité par Taylor à la fin du film original.(Charlton Heston a interprété le rôle principal de l'astronaute Taylor dans le film original de 1968).



2011 : La Planète des singes : les origines ou La montée de la Planète des singes au Québec (Rise of the Planet of the Apes) de Rupert Wyatt
La Planète des singes : les origines  La-pla10
Will Rodman (James Franco) est un scientifique de San Francisco qui tente de développer un remède (ALZ-112) contre la Maladie d'Alzheimer en testant génétiquement un rétrovirus sur des chimpanzés. Après des années d'études, il parvient à élaborer une solution qui semblerait fournir aux chimpanzés une intelligence dépassant l'imagination... Pourtant, lors de la présentation de ce virus novateur, "Beaux Yeux", le cobaye principal, s'évade et est finalement abattue dans la salle de réunion. Le directeur de la compagnie Steven Jacobs (David Oyelowo) ordonne alors aux employés d'euthanasier tout les autres sujets. Mais Beau Yeux avait secrètement accouché dans sa cellule d'un petit mâle, que Will recueille dans son propre foyer.

Rapidement, César développe une intelligence hors du commun transmise génétiquement par sa mère. Trois ans plus tard, Will décide d'injecter un échantillon du même virus ALZ-112 à son père, Charles(John Lithgow), qui souffre de la maladie d'Alzheimer. Du jour au lendemain, l'état de ce dernier s'améliore au delà de toute attente, mais au bout de cinq ans, son système immunitaire commence à combattre le rétrovirus. Un jour, pris de démence, Charles entre en conflit avec un voisin. Témoin de la scène, César se précipite alors sur l'agresseur et le jette au sol en le mordant.

Capturé par les autorités, le singe est forcé de rejoindre un refuge pour primates, à San Bruno, où il découvre bientôt ses semblables, maltraités par des gardiens sans scrupules. César parviendra à s'échapper de sa cage et à assurer son autorité sur le mâle dominant, grâce à l'aide d'un gorille, Buck.

Pendant ce temps, Will crée une forme plus puissante de rétrovirus, le ALZ-113 et obtient l'autorisation d'effectuer de nouvelles expériences sur des chimpanzés. Cependant, son collègue Franklin (Tyler Labine) découvrira à ses dépends la toxicité du virus pour les hommes. Avant sa mort, et en tentant d'avertir Will, il contaminera malgré lui le voisin de ce dernier.

César s'échappe du refuge et pénètre dans la maison de son ancienne famille. Il y volera deux flacons du nouveau virus pour contaminer ses compagnons du refuge. Doués d'intelligence, les primates se réunissent pour établir le plan de leur libération, ce qui alertera un gardien. Après une courte lutte, les singes s'échappent et envahissent la ville afin de libérer tous leurs semblables du zoo de San Francisco.

Après avoir combattu les policiers sur le Golden Gate Bridge, les singes fuient dans la forêt du monument national Muir Woods. Pendant ce temps, le virus se répand rapidement sur la planète, contaminant les humains..

Distribution

James Franco (VF : Anatole de Bodinat) : Will Rodman
Freida Pinto (VF : Alexandra Garijo) : Caroline Aranha
John Lithgow (VF : Michel Ruhl) : Charles Rodman
Andy Serkis (VF : Benoît Allemane) : César (Caesar en VO)
Brian Cox (VF : José Luccioni) : John Landon
Tom Felton (VF : Dave Milztain et VQ : Sébastien Reding) : Dodge Landon
David Oyelowo (VF : Daniel Lobé) : Steve Jacobs
Tyler Labine (VF : Emmanuel Gradi) : Franklin
Jamie Harris : Rodney
David Hewlett (VF : Jérôme Rebbot) : Hunsiker
Rudy Caster : Clovis

Le film n'entre pas dans la continuité de la saga cinématographique mais emprunte des éléments notamment au film La Planète des singes réalisé par Tim Burton en 2001. Selon le réalisateur Rupert Wyatt, « c'est une partie de la mythologie et il devra être vu ainsi. Ce n'est pas la continuité des autres films, c'est une histoire originale. Il satisfera les personnes qui ont aimé ces films. Le but de ce film est d'achever tout ça et d'offrir ça aux fans, exactement comme Batman Begins. ».

Contrairement aux précédents films, les chimpanzés, gorilles et orang-outans du film ont été créés en images de synthèse par la société Weta Digital de Peter Jackson, aidée par l'Université Columbia. La société a utilisé la capture de mouvements comme pour Avatar et Le Seigneur des Anneaux, et des équations mathématiques précises basées sur la physique pour simuler la fourrure photo-réaliste des singes. Andy Serkis incarne un personnage en image de synthèse pour la sixième fois dans sa carrière après les trois opus du Seigneur des Anneaux, Les Aventures de Tintin : Le Secret de la Licorne et King Kong.

Le tournage a débuté en juillet 2010 à Vancouver et en Colombie Britannique au Canada9,10. D'autres scènes ont été tournées à San Francisco, en Californie, ainsi qu'à Oahu dans l'Archipel d'Hawaï (États-Unis).

Ce nouvel opus de La Planète des singes comporte de nombreux clins d’œil au film original de 1968 :

- Il est appris via des journaux télévisés que le vaisseau spatial « Icarus » commandé par un certain colonel Taylor, disparaîtra des écrans en dépassant la planète Mars… C'est un hommage évident au premier film où George Taylor (joué par Charlton Heston) et son équipage font un bond dans le futur pour se retrouver sur une Terre dominée par des singes intelligents.

- La mère de César, sujet principal pour les tests du sérum Genesys, est appelée « Beaux Yeux » (« Bright Eyes »), un autre clin d’œil au film original où Taylor était appelé ainsi par la scientifique chimpanzé Zira.

- Stewart, Dodge et Landon, qui étaient les membres de l'équipage de l'Icarus, apparaissent également dans ce nouvel opus de La Planète des Singes, mais dans des rôles très différents.

- Dans l'une des scènes, César -dans sa chambre du grenier- manipule une statue de la liberté. Référence évidente au film de 1968.
- L'orang-outan se prénomme Maurice, référence à l'acteur Maurice Evans qui interprétait le docteur orang-outan Zaïus dans le film de 1968.

- Dans une scène, un des gardiens du refuge regarde un film à la télévision où apparaît brièvement Charlton Heston.
- Steve Jacobs et Franklin de Gen-Sys font référence au producteur (Arthur P. Jacobs) et au réalisateur (Franklin J. Schaffner) du film de 1968.

- La femelle chimpanzé enlevée du refuge se prénomme Cornélia, référence au Dr. Cornélius du film de 1968.
- La phrase « Enlève tes sales pattes » qui provoque la révolte de César dans le refuge se réfère aux premiers mots prononcés par Taylor devant les singes dans le film de 1968.



Films parodiques

2001 : La Planète des Seins (Planet of the Babes), parodie pornographique de Jim Powers
2002 : La Planète des singes: World of the erotic ape (World of the erotic ape/Planet of the erotic ape), parodie érotique de Lou Vockell, États-Unis.
2002 : La Playmate des singes (Play-Mate of the Apes), parodie érotique de John Bacchus, États-Unis, sorti directement en vidéo.

Série télévisée

1974 : La Planète des singes. Diffusée sur les chaînes francophones : Antenne 2 à partir du 17 décembre 1975 à 15h30 ; TMC en janvier 2006 ; NRJ12 en mai 2007. La série télévisée ne comporte qu'une seule saison de 14 épisodes (disponible en DVD en France).

Série animée

1975 : Return to the Planet of the Apes : série animée des États-Unis en 13 épisodes de 30 minutes diffusée entre le 6 septembre et le 8 novembre 1975 sur le réseau NBC. Elle n'a jamais été diffusée en France.

Bande dessinée


De 1977 à 1978, les éditions Lug/Semic ont publié 19 numéros de bande dessinée en reprenant les planches noir et blanc publiées par Marvel Comics Group aux États-Unis. Les six premiers numéros reprennent la trame des films, puis proposent des aventures inédites basées sur le même univers. Les couvertures sont signées Jean Frisano. Lors de la sortie du film de Tim Burton, Dark Horse Comics a fait paraître une mini-série. En 2011, Boom ! Studios publie une BD scénarisée par le romancier Daryl Gregory.

Dans l'adaptation, les singes ne sont pas présentés avec un niveau technologique équivalent à ceux des humains. Dans le livre de Pierre Boulle, les singes ont un sérieux retard dans certains domaines par rapport à l'époque du héros : ceci se justifie par l'incapacité première des singes à faire autre chose que « singer » la civilisation humaine à laquelle ils succèdent, sans vraiment la développer : leur civilisation est celle contemporaine de l'auteur (les singes ont des automobiles et jouent au golf). Ils font cependant des découvertes plus poussées que les humains dans certains domaines, notamment dans l'étude du cerveau. L'auteur ébranle ici l'idée de supériorité humaine par rapport aux autres espèces en avançant l'idée que, d'abord par imitation, et ensuite par évolution, une autre espèce pourrait supplanter l'homme si elle en avait l'occasion.


Sources :
http://fr.wikipedia.org
http://www.allocine.fr
http://www.philippe.heurtel.info/SingesIndex.html
http://www.cinenews.be
http://www.culture-sf.com
http://www.dhnet.be

Jenifaël

Jenifaël
Drôles de Dames
Drôles de Dames

Merci Speedou pour ce complément d'info ^^ Dans tout les films j'ai vu que les deux derniers XD

Speedou

Speedou
Admin
Admin

J'ai eu la chance de les voir tous sauf le dernier... Disons que entre 1968 et 2011 (pour être sympa) qu'il y a eu quelques Nanars !

Le premier et le dernier me semble être complémentaire, et donc je ne conseillerai les autres pour le côté kitsch et divertissant !

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