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La Pirat box.....comment, pourquoi, qui, quoi, où ?

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Speedou

Speedou
Admin
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La Pirat box.....comment, pourquoi, qui, quoi, où ? Pb10


Loin de moi de faire l'apologie du piratage il est parfois des concepts ou des projets qui valent la peine qu'on s'y attarde plus que d'autres.

La Pirate Box ambitionne de faciliter les échanges dans un groupe d’amis.

Comme un hotspot WiFi, la PirateBox permet de réceptionner et d’envoyer des fichiers sur l’appareil. Les échanges en vase clos n’ont pas fini de donner du fil à retordre à la Haute Autorité.

Ne pas confondre avec Thepiratebox.net qui lui permet d'échanger des fichiers sans craindre les lois sur le copyright au moyen d'une Seedbox.

Une Seedbox (terme anglais qui se traduit par « boîte à semis ») est un serveur informatique privé qui est dédié au téléchargement et à l'émission de fichiers numériques.

Généralement, les Seedbox utilisent le protocole BitTorrent pour émettre et recevoir les données. Elles ont également été utilisées sur le réseau eDonkey2000. Les Seedbox sont la plupart du temps connectées à des réseaux à très haut débit symétrique, souvent à 100 MBits/s et plus. Les fichiers sont envoyés à la Seedbox par les autres utilisateurs du réseau BitTorrent, et de là ils peuvent être récupérés depuis un ordinateur personnel, à la vitesse maximale de sa connexion (ADSL, câble, satellite, 3G, etc) et ceci par les protocoles FTP, HTTP, SFTP, rsync.

Les Seedbox fonctionnent sur la majorité des systèmes d'exploitation (Windows, Linux, Mac OS, etc). Certaines Seedbox permettent l'utilisation de programmes spécifiques incluant des interfaces web aux principaux clients BitTorrent comme Transmission (Linux), rTorrent, μTorrent, BitTornado. Le programme TorrentFlux permet leur utilisation à distance, grâce à une interface web consultable depuis un navigateur Internet. D'autres Seedbox permettent leur utilisation via le protocole de bureau à distance, permettant à de nombreux clients populaires d'être utilisés à distance.

Les Seedbox connectées à des réseaux à très haut débit sont normalement capables de télécharger de gros fichiers en quelques minutes (seulement si l'essaim d'utilisateurs dispose de suffisamment de bande passante montante pour alimenter totalement celle de la Seedbox). Un fichier de 1 GO peut prendre moins de cinq minutes pour être téléchargé. Ceci signifie que la même quantité de données peut être envoyée à d'autres utilisateurs, dans la même période de temps et ainsi créer pour ce fichier un ratio de 1 (upload=download).

Pour cette raison, les Seedbox sont très populaires dans les réseaux de partage de fichier (P2P) car elles permettent de conserver un ratio supérieur à 1, condition indispensable à l'utilisation de trackers privés.

Les Seedbox consomment énormément de bande passante. De nombreux hébergeurs Internet refusent l'installation de tels serveurs dans leurs infrastructures.



David Darts a imaginé la Pirate Box ! Le concept est assez simple... Il s'agit d'une machine portable qui fait office de hotspot wifi (DD-WRT) avec un dock branché au cul, capable d'accueillir un disque SSD ou une clé USB, ainsi qu'un serveur web super léger en Python. Les gens participant à la LAN Party (ou peu importe l'événement) peuvent alors uploader leur fichiers directement dans cette Piratebox et récupérer les fichiers des autres.

Elle utilise le logiciel open source pour créer un point d’accès mobile partagé, un point d’accès Wi-Fi compatible DD-WRT et un périphérique de stockage de masse en USB. Les données sont échangées de façon anonyme et de toute façon, elle n’est pas connectée au net. Sous licence Free Art License (FAL 1.3), cette PirateBox vous coûtera dans les 100$ (72 euros) à fabriquer.


La Pirat box.....comment, pourquoi, qui, quoi, où ? Pirate10

http://piratebox.c.la

Au départ, fin 2010, David Darts s'était lancé seul dans l'aventure : "J'avais emprunté le logiciel libre Droopy, écrit par un Français, et j'avais commencé à l'adapter à mes besoins." Mais très vite, il s'aperçoit qu'il a besoin d'aide. Il ouvre alors un site Internet et lance un appel vers la communauté du logiciel libre, qui fonctionne sur le principe de l'entraide et du partage. En quelques semaines, des experts lui envoient bénévolement des solutions et des suggestions, qui lui permettent d'achever son travail.



Pour vérifier l'attrait de sa Pirate Box sur différents publics, David Darts fait des tests un peu partout : sur le campus, dans des bars, des soirées, des parcs, dans le métro, dans son immeuble... A ce jour, l'accueil a toujours été positif. Il distribue aussi son logiciel gratuitement sur Internet, avec un mode d'emploi qui permet aux bricoleurs de fabriquer leur propre box. Fidèle à ses principes, il ne veut rien savoir sur eux, mais il devine qu'ils sont nombreux : "Sur Amazon, le plug server était bradé à 20 dollars (15 euros), mais, d'un seul coup, la demande a explosé, il est monté à 60 dollars (46 euros). D'ailleurs, Amazon indique que ceux qui l'ont acheté ont aussi acheté une boîte décorée d'une tête de mort..."



En dix mois, son site a reçu plus d'un million de visiteurs, dont quelques-uns se sont associés au projet. Une hackeuse allemande s'est aperçue que le plug server était en fait inutile, car les logiciels de la Pirate Box peuvent être installés directement sur certains routeurs, comme le Buffalo AirStation.

Parallèlement, une communauté de geeks a entrepris de transformer un smartphone en Pirate Box, tandis qu'une autre en fait autant avec un ordinateur portable. Un troisième groupe construit une Pirate Box plus puissante, en utilisant uniquement des composants dont les plans sont en libre accès (open source).

Un passionné fabrique des Pirate Boxes pour ceux qui n'y arrivent pas tout seuls, et leur revend à prix coûtant. Renseignements pris, il s'appelle Joseph, et se présente comme un garçon de 15 ans habitant en Virginie. Il ne sait pas s'il va continuer longtemps, car cela ne lui rapporte rien, mais pour lui, pas question d'en faire un business : "Le principal attrait du projet est d'être à contre-courant, hors du système marchand." Joseph teste sa propre Pirate Box, à l'école, en ville, chez des copains : "Les jeunes discutent comme sur Facebook, sauf que ça reste entre nous. On s'échange des photos, des vidéos, des enregistrements de groupes locaux, des livres comme Harry Potter, et aussi de la documentation sur des sites pirates."



A New York, David Darts reçoit à présent des messages l'incitant à se lancer dans la création d'un réseau parallèle, composé d'une série de Pirate Boxes interconnectées : "Mon petit projet fait partie d'un vaste mouvement. Des tas de gens rêvent de créer une version alternative de l'Internet actuel, dont ils ne veulent plus, car il est devenu mercantile, centralisé et surveillé de partout."



D'autres New-Yorkais, plus politisés, travaillent à la réalisation de cette utopie, avec des variantes. Les militants de l'Internet libertaire ont compris que pour toucher le grand public, ils devaient fournir des appareils prêts à l'emploi. La petite ONG Access Now, qui se consacre à la défense des "libertés numériques", a entrepris de transformer un routeur Internet ordinaire en machine à anonymiser le trafic Internet. Son directeur technique, Gustaf Björksten, installé dans un immeuble vétuste du sud de Manhattan, a lui aussi choisi le routeur Buffalo AirStation, sur lequel il s'efforce d'installer une version modifiée du système TOR (The Onion Router).

La Pirat box.....comment, pourquoi, qui, quoi, où ? Tor_st10

Mis au point par une équipe de hackers américains et allemands, TOR est un réseau de serveurs anonymes, qui cryptent les données Internet et les font transiter par plusieurs relais pour brouiller les pistes. Access Now espère mettre en vente dès 2012 un outil simple et bon marché pour ceux qui ont besoin d'utiliser Internet discrètement - militants écologistes ou humanitaires, dissidents politiques, syndicalistes...

A quelques kilomètres de là, au 17e étage d'un gratte-ciel, dans un quartier d'affaires de New York, une autre équipe s'est lancée dans une aventure plus ambitieuse : la conception d'une Freedom Box, qui combinera dans un seul boîtier une large gamme de fonctions permettant de protéger la confidentialité des communications sur Internet. Le projet est hébergé par le Software Freedom Law Center (SFLC), un cabinet juridique à but non lucratif, qui fournit gratuitement des services juridiques aux créateurs de logiciels libres. Le patron du SFLC, Eben Moglen, militant de longue date de la défense des libertés individuelles, par ailleurs avocat et professeur de droit à l'université Columbia, a compris qu'en matière de protection des droits des citoyens sur Internet, la loi est une arme insuffisante. Il a donc décidé de passer à l'action directe : "Nous allons produire un équipement qui permettra à chaque citoyen de prendre en main personnellement la protection de sa vie privée sur Internet, sans s'y connaître vraiment en informatique."



Pour mettre au point ses logiciels, l'équipe de la Freedom Box a choisi le Dream Plug de Globalscale, un mini-ordinateur fonctionnant sous Linux et coûtant 150 dollars (115 euros). La montée en charge se fera par étapes, en commençant par une messagerie cryptée. Puis, si tout se passe comme prévu, à partir de 2013, le possesseur d'une Freedom Box pourra consulter Internet et télécharger des fichiers anonymement, contourner des firewalls d'entreprise, téléphoner gratuitement en mode crypté, échanger des sons et des images en direct et en différé, déposer des fichiers sensibles en lieu sûr dans une autre Freedom Box.

Ce réseau alternatif permettra aussi de publier des documents sur Internet tout en restant anonyme : chacun possédera ainsi son propre WikiLeaks. Enfin, la communauté des Freedom Boxes pourra créer un réseau social offrant les mêmes fonctions que Facebook, mais dont l'architecture sera horizontale et décentralisée : les données personnelles de ses membres ne seront jamais stockées en un seul lieu, et chacun en gardera le contrôle.


Conformément à l'esprit de la communauté du logiciel libre, l'équipe travaille en partie à partir de programmes existants, et s'appuie sur une cinquantaine d'experts, dont beaucoup de bénévoles - parmi eux, Jacob Appelbaum, cofondateur de TOR, par ailleurs proche de WikiLeaks.

Eben Moglen rêve déjà de voir sa box se vendre sur Internet à des millions d'exemplaires, grâce à des accords commerciaux avec des fabricants et des distributeurs. Cela dit, il sait que ses efforts n'auront jamais de fin : "Des hackers et des services secrets vont attaquer notre réseau, et certains réussiront à le compromettre. Nous devrons donc trouver à chaque fois de nouvelles parades. Il faudra aussi sans doute négocier avec certains Etats, accepter des compromis..." En bref, s'imposer comme un nouvel acteur sur le réseau mondial.

La PirateBox ne garde ni l’adresse IP des ordinateurs, ni l’historique des connexion. Car au-delà de la dimension ludique du dispositif, David Darts l’a conçu pour nous inviter à réfléchir. « La protection de notre vie privée et de notre anonymat est intimement liée à la préservation de nos libertés fondamentales. Or, sur Internet, nous acceptons d’être espionnés en permanence par Google ou Facebook, et par des agences d’Etat. En échange, nous recevons des services très pratiques, mais, à mon sens, c’est trop cher payé », expliquait-il à un journaliste du Monde, en janvier dernier.

La Haute Autorité a beau avoir un budget officiel de 12 millions d'euros pour 2011, son champ d'action reste pour le moment limité aux seuls échanges peer-to-peer. Alors que la riposte graduée cherche malgré tout à enregistrer ses premiers succès en France, nombreux sont les internautes à s'être massivement portés sur de nouvelles formes de partage, hors des radars de la loi Hadopi.......,

Que vous faut-il pour bidouiller votre propre Piratbox ?

Allez faire un tour sur ce site : www.siliconmaniacs.org/piratebox-mode-demploi

Ou tout aussi complet mais en anglais : http://wiki.daviddarts.com/PirateBox_DIY

Et ensuite :

La première PirateBox lilloise (vive les ch'tis)

Le concept a été inventé par David Darts, un professeur à la Steinhardt School of Culture, Education and Human Development, à New York. Darts avait fourni les outils permettant de réaliser sa propre PirateBox, avec du matériel qui à l'époque coûtait environ 75 euros. Un an plus tard, c'est un autre professeur, français, qui améliore le concept avec un matériel encore plus petit et moins coûteux.



Il suffit en effet d'une clé USB, d'un câble Ethernet et surtout d'un micro-routeur TL-MR3020, vendu autour de 40 euros
(TP-LINK Routeur portable 3G / 3.75G Wireless-N TL-MR3020)

Le reste se fait très simplement en suivant le tutorial adapté en français par Jean Debaecker, professeur à Lille III. "Ca prend 10 minutes à installer. Aberrant de facilité", explique-t-il à La Voix du Nord.

"L'idée est de pousser les gens à le faire à leur tour. Dans leur immeuble, leur impasse, leur quartier, qu'ils partagent des fichier", explique-t-il au quotien, qui précise que "Jean n'attend qu'une chose : que son ordinateur accroche le signal d'une autre PirateBox. Le premier maillon d'une toile parallèle qui reste à tisser".

Dispositif nomade de communication et de partage, qui permet de transformer tout espace en réseau libre et anonyme de partage informationnel et documentaire.


Le réseau est en Wi-Fi et indépendant d’Internet. Le partage est local et anonyme, la diffusion est éphémère, spontanée et dynamique. La réalisation technique est largement documentée et illustrée ici :

http://wiki.daviddarts.com/PirateBox_DIY_OpenWrt.

Le caractère nomade du dispositif appelle à pouvoir être géolocalisé en temps réel : la position sera précisée sur les réseaux sociaux. Cependant il peut également être le réseau surprise et inattendu que l’on découvre au détour d’un café, des transports publics, etc.

Le tutorial en français : http://piratebox.c.la (cliquez sur la jolie tête de mort comme le logo de l'entête du sujet et ensuite sur tuto)

Et pour ceux ou celles qui en veulent toujours plus, voilà un lien qui vous donnera des indications pour android et votre netbook :

http://www.nikopik.com/2012/02/le-partage-direct-de-fichiers-avec-les-piratebox.html

Et un Pdf référenceur : http://www.fichier-pdf.fr/2012/02/18/piratbox/piratbox.pdf
La PirateBox, est un outil qui vous fera gagner un peu plus sur le plan de votre vie privée et facilite la diffusion du savoir hors des seuls paramètres du profit. On l’aime aussi en ce qu’elle est un outil de questionnement sur nos pratiques de téléchargement et notre rapport à la production d’œuvres. Le débat amorcé par les licences libres et l’éthique sont de bonnes pistes.

Par exemple, cette maxime de la plate-forme de labels musicaux indépendants, CD1D : télécharger c’est découvrir, acheter c’est soutenir. Mais aussi, celle de Lénine reprise par quelqu’un de plus pacifique, Edgar Morin : moins mais mieux.


Sources :

http://www.journaldugeek.com
http://www.franceinfo.fr
http://www.siliconmaniacs.org
http://www.lemonde.fr
http://www.nikopik.com
http://www.chroniquequebec.com
http://dav2012.over-blog.com
http://owni.fr

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