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Les tomates parasites et maladies

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Speedou

Speedou
Admin
Admin

Les tomates parasites et maladies  Tomate11

Quand on a un ennemi, il faut au préalable le définir pour lutter efficacement contre lui, et donc connaitre les causes des maladies et les parasites de la tomates...

Parasites

Les pucerons

Les tomates parasites et maladies  250px-16





Le ver gris (Noctuelles)


Les tomates parasites et maladies  Fig3_410

Les chenilles des noctuelles, dont il existe une dizaine d’espèces nuisibles, provoquent parfois des dégâts importants dans nos productions potagères. Elles comptent, avec les mouches et les pucerons, parmi les pires ravageurs du jardin. Beaucoup de ces papillons et de leurs chenilles sont mal connus des jardiniers car ils sont nocturnes, et donc inactifs le jour, et de surcroît totalement invisibles grâce à leur mimétisme. A tel point que le terme impropre de ver gris est le seul utilisé pour désigner ces chenilles.

Gros vers gris pouvant atteindre 6 cm de long, chenilles des papillons nocturnes qui tournent en été autour des lampes de la maison et qui craignent la lumière. Du printemps à la fin de l'automne, ils attaquent le collet et les feuilles de la plante qui dépérit. Pour lutter contre ce ver, il faut maintenir le sol humide, biner fréquemment. Pulvériser des décoctions de sureau ou de tanaisie à la base des plantes tous les 3 ou 4 jours. Disposer des pièges composés de boulettes de son additionnées de pyrèthre (1 cl pour 100 g de son) et d'eau pour les attirer et les détruire.

Prédateurs : merles, pies, corneilles, taupes, musaraignes, chauves-souris, carabes dorés

Traitements pathogènes:

Pulvérisez un biopesticide à base de Bacillus thuringiensis, bactérie s'attaquant à un grand nombre de chenilles. Inefficace contre les carpocapses des pommes, poires ou prunes.Epandez par arrosage ou pulvérisez des Nématodes (vers microscopiques): Steinernema carpocapse contre les vers gris.

Renouvelez leurs applications tous les 10 jrs jusqu'à disparition. Application par temps sec, à renouveler après une forte pluie.

Vous trouverez ces produits en jardineries.


Nos jardins sont parfois envahis par des herbes folles, des champignons, ou de petits animaux (limaces, escargots, chenilles et autres insectes, souris, campagnols,...) qui peuvent mettre en péril la santé de nos plantations. Afin de lutter contre ces "pestes", trop souvent nous recourons à des biocides chimiques très dangereux pour l’environnement et la santé humaine. Il existe cependant des alternatives moins nocives.

Quelles sont-elles ?

Les "pestes" de nos jardins ont de nombreux ennemis naturels. Ils appartiennent à des groupes biologiques très divers : micro-organismes, insectes, vers, oiseaux, mammifères,... Favorisons leur présence dans le jardin ou du moins, ne les éliminons pas quand ils élisent domicile chez nous.

Quelques exemples :

le hérisson se nourrit principalement de limaces, de chenilles et de souris ;
la musaraigne mange de grandes quantités d’insectes et de limaces ;
la belette est un ennemi des campagnols et des rats ;
la taupe mange des vers de terre, des insectes, des larves ;
la chauve-souris consomme des insectes en grand nombre ;
les oiseaux sont souvent insectivores ;
les batraciens (crapaud, grenouille, triton) se nourrissent de vers, de limaces, d’insectes ;
les orvets et les lézards se nourrissent d’insectes, de limaces, de chenilles, de larves ;






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certains insectes :

coccinelles, chrysopes, syrphes, guêpes, carabes, perce-oreilles,... sont carnivores. Ils se nourrissent donc d’autres insectes et de micro-organismes ;
les araignées sont redoutables pour les insectes.

QUELQUES BIOCIDES NATURELS

Les biocides sont des produits de traitement des "pestes". En éliminant les ravageurs, ils réduisent les dégâts aux cultures et permettent d’augmenter les rendements. Selon les espèces qu’ils détruisent, les biocides sont appelés : insecticides (qui tue les insectes), fongicides (champignons), herbicides (végétaux), germicides (graines), rodenticides (rongeurs), molluscicides (mollusques) ou nématicides (nématodes).

Si les biocides chimiques sont efficaces et utiles, ils sont aussi dangereux. En effet, ils polluent l’eau, contaminent les chaînes alimentaires et sont toxiques pour les êtres vivants par contact, ingestion et/ou inhalation.
Bien que les biocides naturels soient généralement moins dangereux, certains présentent un risque pour d’autres organismes non visés ou pour l’homme. Il est donc impératif de s’informer pour utiliser les biocides de façon optimale et sans risque.

Quelques exemples :

- Le savon noir semi-liquide tue les pucerons et les "araignées rouges" (acarien s’attaquant aux arbres fruitiers).
- La nicotine, insecticide naturel très toxique, élimine les pucerons, les cochenilles et les chenilles.
- L’écorce du Quassia, arbre tropical, est un insecticide naturel ; il est surtout efficace contre les pucerons. L’écorce est vendue en poudre qu’il faut dissoudre dans l’eau avant de pulvériser.
- Le savon au potassium est un insecticide naturel. Dissous dans l’eau, il peut être pulvérisé sur les pucerons.
- La fleur du Derris ou pyrèthre est un insecticide toxique pour presque tous les insectes.

COMMENT ÉVITER L’EMPLOI DE BIOCIDES CHIMIQUES ?

Nous pouvons éviter ou réduire l’emploi de biocides chimiques dans nos jardins :

-D’abord, s’assurer que les conditions de vie de la plante sont optimales et que toutes les mesures préventives ont été prises. Ensuite, si une attaque ou une maladie survient, poser le bon diagnostic.
- Si le parasite est identifié, nous devons nous interroger sur l’ampleur des dégâts qu’il peut occasionner ;
- un traitement se justifie-t-il ?
- Assurons-nous que le parasite ne soit pas déjà attaqué par ses ennemis naturels ; un traitement supplémentaire n’est pas utile !
- Fertiliser le sol afin que les plantes soient suffisamment costaudes pour lutter efficacement contre les agressions.
- Diversifier les espèces pour qu’elles ne soient pas toutes attaquées par le même parasite.
- Effectuer une rotation des cultures. Cela évite l’accumulation de germes pathogènes et d’insectes spécifiques à une culture.

- Choisir des plantes adaptées aux conditions de sol et de climat.
- Couvrir le sol pour qu’il ne soit pas envahi par les mauvaises herbes. Une terre nue est soumise à diverses dégradations : gel, tassement du sol, lessivage, érosion,...
- Favoriser les méthodes de lutte mécanique : enlever les pucerons avec un jet d’eau, à la main, avec une brosse, ou couper les parties malades de la plante (surtout s’il s’agit de moisissures et de champignons).


Que penser de cette lutte intégrée ?

La lutte intégrée est intéressante lorsqu’on intervient à temps, il est préférable d’installer les prédateurs avant l’apparition des attaques. Même dans ce cas, un contrôle est important. Il est parfois nécessaire d’appliquer des insecticides autorisés en lutte intégrée qui ne détruiront que les pucerons. Sans quoi toute lutte à l’aide des auxiliaires deviendrait impossible durant des mois.

Lutte intégrée

L’ichneumon Aphidius. Est l’ennemi juré du puceron vert.

L’insecte détecte rapidement les pucerons, il les parasite et pond ses œufs sur les pucerons.

Une larve sort de ces œufs et se développe en consommant les pucerons qui se décolorent pour devenir d’une couleur bronze.

Les pucerons de la pomme de terre n’accueillent pas l’ichneumon ce qui oblige de nous tourner vers un autre ennemi du puceron.

Les larves de la mouche de flesse ou Aphidoletes aphidimyza se nourrissent uniquement de pucerons. Ainsi, les mouches adultes pondent leurs œufs directement au milieu des colonies.

Des larves rouges orange sortent des œufs et commencent leur travail d’extermination. Ensuite, les larves se chrysalident dans la terre et les mouches qui sortent pondent à leur tour de nouveaux œufs. Ainsi, on obtient une population active pendant toute une période culturale.

Le seul inconvénient de cet auxiliaire est qu’il lui faut minimum 14 heures de lumière pour se développer.



Maladies

Le mildiou

Champignons qui se développent l’été par temps chaud et humides et se caractérisent par l'apparition de taches brunes sur les feuilles, la patrie inférieure de ces dernières se couvrant d'un feutrage blanc-gris, parfois violet. Les feuilles se dessèchent et les fruits sont également attaqués. Les fruits ou légumes sont alors inconsommables. La lutte ne peut être que préventive. Si les conditions de chaleur et d'humidité son réunies, pulvériser des décoctions de prêle. Brûler les plantes atteintes.

La pourriture grise ou botrytis

Cette maladie survient à la fin du printemps et à l’été si celui-ci est humide. C’est un champignon qui est à l'origine d'un feutrage gris sur les feuilles et les tiges, ces dernières se tachant ensuite de brun ainsi que les fruits.

Les plantes meurent rapidement. Pour lutter contre cette maladie, il faut combattre l'acidité du sol. Fortifier les plantes susceptibles d'être attaquées par des pulvérisation de purin d'ortie. Les installer dans un emplacement bien fumé. Arroser et fertiliser sans excès. Brûler les plantes atteintes pour éviter toute prolifération.

Le blanc

Les feuilles sont recouvertes d'une poussière blanche.

La croissance de la plante est ralentie.

Pour lutter contre ce problème, il faut aérer les cultures.

-Pulvériser des décoctions de prêle pour renforcer la vigueur et la résistance des plantes.
-Pulvériser une solution de soufre en cas d'apparition des symptômes en respectant les conditions d'utilisation, c'est à dire par température ni trop basse, ni trop élevée.
-Brûler les plantes atteintes.
-Respecter les espacements entre les plants et arroser le matin plutôt que le soir.
-Bien laisser sécher le sol entre les arrosages.
-Enlever les résidus de cultures et pratiquer la rotation des cultures.
-Éliminer les feuilles atteintes et les brûler.
-Vaporiser abondamment avec de l'eau le dessus et le dessous des feuilles à chaque semaine, par beau temps, pour que le feuillage sèche rapidement.
- Utiliser de la décoction de prêle, du bicarbonate de soude appliqué tous les 3/4 jours ou argile appliquée en fine couche sur les parties atteintes dès le début de l'infestation.
-Renouveler après chaque pluie.

-A essayer aussi une macération d'ail filtrée et pulvérisée directement sur les plantes avec les fruits (le goût ne reste pas) qui semble donner de bons résultats.


Sources :

http://www.mamie-astuces.com
http://www.lesjardinslaurentiens.com
http://www.ecoconso.be
http://www.quenovel.be
http://lofficinedujardinbio.blogspot.com


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