L'Intoxication aux métaux lourds
Ce point sur une famille de maladies souvent ignorées fournit un premier niveau d'information. Nous espérons qu'il vous sera utile, quitte à ce qu'il ne soit qu'un premier pas avant d'approfondir le sujet avec un professionnel.
L'intoxication chronique aux métaux reste mal connue du grand public, tant dans ses mécanismes que dans ses conséquences.
Elle regroupe en fait deux types de pathologies distinctes liées, pour l'une, à la présence de métaux n'ayant aucune utilité pour l'organisme (cadmium, mercure, plomb, aluminium) et, pour l'autre, à la surabondance d'un élément nécessaire à son bon fonctionnement (or, argent, arsenic, nickel, palladium, titane, étain, ...).
Les sources de contamination présentes dans notre environnement sont nombreuses et, somme toute, assez inévitables, des apports alimentaires pour le mercure ou le cadmium aux éléments de construction ou à l'essence pour le plomb en passant par certains vaccins pour l'aluminium.
Contrairement aux intoxications inhérentes à une forte exposition aux métaux qui présentent des symptômes distinctifs, les intoxications chroniques liées à l'assimilation de plus faibles quantités sont plus complexes à identifier, d'autant qu'elles sont parfois associées à d'autres causes dans la survenue de pathologies aussi variées que la fatigue chronique, les troubles neuropsychiques ou les douleurs articulaires ou dans l'aggravation de maladies chroniques.
Des pathologies difficiles à cerner
Quant aux mécanismes d'actions, toxicité directe et allergie par hypersensibilité retardée sont susceptibles d'interagir ce qui se traduit au niveau des outils de diagnostic par une pléïade de tests dont les résultats restent souvent insuffisamment précis ou équivoques : dosages dans le sang, dans les urines ou dans les cheveux, tests immunologiques de type MELISA, ... le plus fiable restant un dosage dans les urines avant et après chélation mais ce dernier test reste complexe et coûteux à opérer.
Le traitement le plus courant proposé par la médecine conventionnelle -essentiellement en réponse aux intoxications massives- consiste à utiliser des chélateurs, substances qui fixent les métaux et permettent de les éliminer par les voies naturelles. S'il présente une réelle efficacité, il est en revanche potentiellement dangereux car il affecte les éléments minéraux de l'organisme sans grand discernement et fait donc courir le risque d'une déminéralisation.
Les approches naturelles
Face à cela, de nombreux traitements naturels existent. Pour ceux d'entre eux qui sont réellement pertinents (sélénium, ail des ours, ...), ils sont généralement à intégrer dans un protocole de détoxication et ne suffisent pas, isolément, à traiter l'intoxication aux métaux.
En se basant sur une approche de type informative, visant à activer et à accroître le potentiel naturel de l'organisme à se débarrasser des métaux superflus, une nouvelle génération de produit ayant démontré son intérêt lors d'essais cliniques voit aujourd'hui le jour. Les praticiens de santé disposent donc désormais de nouveaux outils pour compléter les solutions agissant de manière curative plus directe et le travail de fond qui peut être mené sur le mode de vie.
Bien sûr, que ce soit pour diagnostiquer une éventuelle intoxication aux métaux, opter pour une piste de traitement ou, le cas échéant, trouver le protocole de santé naturelle le plus adapté à votre condition et à vos besoins, le plus judicieux est de vous rapprocher de votre thérapeute.
Ce point sur une famille de maladies souvent ignorées fournit un premier niveau d'information. Nous espérons qu'il vous sera utile, quitte à ce qu'il ne soit qu'un premier pas avant d'approfondir le sujet avec un professionnel.
L'intoxication chronique aux métaux reste mal connue du grand public, tant dans ses mécanismes que dans ses conséquences.
Elle regroupe en fait deux types de pathologies distinctes liées, pour l'une, à la présence de métaux n'ayant aucune utilité pour l'organisme (cadmium, mercure, plomb, aluminium) et, pour l'autre, à la surabondance d'un élément nécessaire à son bon fonctionnement (or, argent, arsenic, nickel, palladium, titane, étain, ...).
Les sources de contamination présentes dans notre environnement sont nombreuses et, somme toute, assez inévitables, des apports alimentaires pour le mercure ou le cadmium aux éléments de construction ou à l'essence pour le plomb en passant par certains vaccins pour l'aluminium.
Contrairement aux intoxications inhérentes à une forte exposition aux métaux qui présentent des symptômes distinctifs, les intoxications chroniques liées à l'assimilation de plus faibles quantités sont plus complexes à identifier, d'autant qu'elles sont parfois associées à d'autres causes dans la survenue de pathologies aussi variées que la fatigue chronique, les troubles neuropsychiques ou les douleurs articulaires ou dans l'aggravation de maladies chroniques.
Des pathologies difficiles à cerner
Quant aux mécanismes d'actions, toxicité directe et allergie par hypersensibilité retardée sont susceptibles d'interagir ce qui se traduit au niveau des outils de diagnostic par une pléïade de tests dont les résultats restent souvent insuffisamment précis ou équivoques : dosages dans le sang, dans les urines ou dans les cheveux, tests immunologiques de type MELISA, ... le plus fiable restant un dosage dans les urines avant et après chélation mais ce dernier test reste complexe et coûteux à opérer.
Le traitement le plus courant proposé par la médecine conventionnelle -essentiellement en réponse aux intoxications massives- consiste à utiliser des chélateurs, substances qui fixent les métaux et permettent de les éliminer par les voies naturelles. S'il présente une réelle efficacité, il est en revanche potentiellement dangereux car il affecte les éléments minéraux de l'organisme sans grand discernement et fait donc courir le risque d'une déminéralisation.
Les approches naturelles
Face à cela, de nombreux traitements naturels existent. Pour ceux d'entre eux qui sont réellement pertinents (sélénium, ail des ours, ...), ils sont généralement à intégrer dans un protocole de détoxication et ne suffisent pas, isolément, à traiter l'intoxication aux métaux.
En se basant sur une approche de type informative, visant à activer et à accroître le potentiel naturel de l'organisme à se débarrasser des métaux superflus, une nouvelle génération de produit ayant démontré son intérêt lors d'essais cliniques voit aujourd'hui le jour. Les praticiens de santé disposent donc désormais de nouveaux outils pour compléter les solutions agissant de manière curative plus directe et le travail de fond qui peut être mené sur le mode de vie.
Bien sûr, que ce soit pour diagnostiquer une éventuelle intoxication aux métaux, opter pour une piste de traitement ou, le cas échéant, trouver le protocole de santé naturelle le plus adapté à votre condition et à vos besoins, le plus judicieux est de vous rapprocher de votre thérapeute.