Zhu et Chen accueillent leurs hôtes avec la classe qui sied à celle de cet établissement dédié à la haute cuisine chinoise et asiatique.
Dès l'entrée, vous comprenez que vous n'êtes pas ici dans un «simple» restaurant chinois comme il en existe des milliers à travers le pays. Le sol feutré, les boiseries murales sculptées, les tables dans les tons rougeâtres et incrustées de dorures, les vitres évoquant des motifs naturels, tout ici respire le raffinement.
Nous aurions pu écrire le luxe s'il n'y avait cette carte où les mets s'affichent à des prix très démocratiques. Depuis le lunch de midi, à 9,5 € pour l'entrée ou le potage, un plat au choix et un dessert au menu dégustation à 38 € qui vous permettra d'apprécier les coquilles Saint-Jacques ou le homard à la façon du chef, le tout accompagné de riz cantonnais.
Nous ne saurions trop vous conseiller de céder pour «la table du Mandarin» (32 €) qui vous permet de partager un repas à la mode traditionnelle chinoise. Autour d'une table ronde dont le grand plateau central tournant accueille différentes sortes de viandes (le boeuf aux cinq parfums, par exemple), de poissons (le filet de sole sauce aigre douce), de crustacés (scampis à l'impériale), de volailles (le célèbre canard laqué) et de légumes.
Les chefs d'orchestre de cette symphonie de senteurs, de saveurs et de couleurs doivent à l'amour qui les unit leur situation actuelle. Zhu Xiaohua a 36 ans. Il cotoie le monde de la gastronomie depuis l'âge de 16 ans. À l'époque, il travaillait en Espagne dans le restaurant familial. Sa rencontre avec Chen Kuan-Hung, 34 ans, allait tracer la suite de son existence.
En 2000, il épouse la jeune fille dans la région de Barcelone. Mais, celle-ci ne parle pas espagnol et souhaite revenir vers le plat pays où ses parents tiennent un restaurant - «La Chine» - à Dinant.
Il y a environ cinq ans, le jeune couple décide de voler de ses propres ailes et atterrit un peu par hasard à Ramegnies-Chin où se libère un ancien magasin de meubles de la chaussée de Tournai.
Avant d'être un commerce, cette maison avait abrité une maison de bouche réputée dans la région: «la Côte d'Azur».
Par la qualité de la cuisine qu'ils proposent et l'accueil chaleureux qu'ils dispensent, les deux jeunes gens allaient rapidement donner au Ming Dynasty des lettres de noblesse à la hauteur de l'illustre prédécesseur.
Aujourd'hui, le Ming Dynasty accueille une clientèle relativement aisée tout en ouvrant largement ses portes aussi à la clientèle familiale. Si les habitués sont nombreux à gravir l'escalier de pierre gardé par deux dragons, il n'est pas rare que des gastronomes de passage fassent halte en ces lieux. Et du passage il y en a sur cette chaussée particulièrement fréquentée.
L'établissement dispose toutefois d'un vaste parking susceptible de satisfaire les 80 clients potentiels.
Dès l'entrée, vous aurez les sens happés par ces senteurs particulières qui imprègnent ces lieux où le palais fait l'objet d'une attention...impériale.
MING DYNASTY
Tél. : 069.85.85.88
Chausée de Tournai 127
7520 RAMEGNIES-CHIN
Fermeture : Ouvert 7/7
Cuisine : Chinoise
Source: Le Courrier de Mouscron - Vincent DUBOIS
Dès l'entrée, vous comprenez que vous n'êtes pas ici dans un «simple» restaurant chinois comme il en existe des milliers à travers le pays. Le sol feutré, les boiseries murales sculptées, les tables dans les tons rougeâtres et incrustées de dorures, les vitres évoquant des motifs naturels, tout ici respire le raffinement.
Nous aurions pu écrire le luxe s'il n'y avait cette carte où les mets s'affichent à des prix très démocratiques. Depuis le lunch de midi, à 9,5 € pour l'entrée ou le potage, un plat au choix et un dessert au menu dégustation à 38 € qui vous permettra d'apprécier les coquilles Saint-Jacques ou le homard à la façon du chef, le tout accompagné de riz cantonnais.
Nous ne saurions trop vous conseiller de céder pour «la table du Mandarin» (32 €) qui vous permet de partager un repas à la mode traditionnelle chinoise. Autour d'une table ronde dont le grand plateau central tournant accueille différentes sortes de viandes (le boeuf aux cinq parfums, par exemple), de poissons (le filet de sole sauce aigre douce), de crustacés (scampis à l'impériale), de volailles (le célèbre canard laqué) et de légumes.
Les chefs d'orchestre de cette symphonie de senteurs, de saveurs et de couleurs doivent à l'amour qui les unit leur situation actuelle. Zhu Xiaohua a 36 ans. Il cotoie le monde de la gastronomie depuis l'âge de 16 ans. À l'époque, il travaillait en Espagne dans le restaurant familial. Sa rencontre avec Chen Kuan-Hung, 34 ans, allait tracer la suite de son existence.
En 2000, il épouse la jeune fille dans la région de Barcelone. Mais, celle-ci ne parle pas espagnol et souhaite revenir vers le plat pays où ses parents tiennent un restaurant - «La Chine» - à Dinant.
Il y a environ cinq ans, le jeune couple décide de voler de ses propres ailes et atterrit un peu par hasard à Ramegnies-Chin où se libère un ancien magasin de meubles de la chaussée de Tournai.
Avant d'être un commerce, cette maison avait abrité une maison de bouche réputée dans la région: «la Côte d'Azur».
Par la qualité de la cuisine qu'ils proposent et l'accueil chaleureux qu'ils dispensent, les deux jeunes gens allaient rapidement donner au Ming Dynasty des lettres de noblesse à la hauteur de l'illustre prédécesseur.
Aujourd'hui, le Ming Dynasty accueille une clientèle relativement aisée tout en ouvrant largement ses portes aussi à la clientèle familiale. Si les habitués sont nombreux à gravir l'escalier de pierre gardé par deux dragons, il n'est pas rare que des gastronomes de passage fassent halte en ces lieux. Et du passage il y en a sur cette chaussée particulièrement fréquentée.
L'établissement dispose toutefois d'un vaste parking susceptible de satisfaire les 80 clients potentiels.
Dès l'entrée, vous aurez les sens happés par ces senteurs particulières qui imprègnent ces lieux où le palais fait l'objet d'une attention...impériale.
MING DYNASTY
Tél. : 069.85.85.88
Chausée de Tournai 127
7520 RAMEGNIES-CHIN
Fermeture : Ouvert 7/7
Cuisine : Chinoise
Source: Le Courrier de Mouscron - Vincent DUBOIS