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Religion et Alimentation - ce qu'il faut savoir !

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Speedou

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Religion et alimentation

La plupart des religions ont prescrit ou prescrivent des usages spécifiques à l'alimentation de leurs fidèles, principalement pour des raisons spirituelles ou parfois à cause de théories de diététiques.

Pour l'islam :

Dans l'islam, le mot halal (arabe : حلال [ḥalāl], « permis », « profane », « licite », parfois orthographié de manière erronée hallal, peut-être en raison de la proximité du mot hallali[réf. , est antonyme de haram. « Halal » définit ce qui est permis pour le musulman et « haram » définit ce qui est un péché et ce qui est sacré, et qui lui est donc interdit.

Les qualifications de « halal » et « haram » concernent notamment l’alimentation du musulman : par exemple manger du poisson est halal, alors que manger du porc est harâm. Pour que la viande soit halal, il faut que l'animal égorgé vivant ne soit pas préalablement étourdi et ait la tête tournée vers La Mecque pour qu'il se vide de son sang.

Un musulman doit lui couper la carotide et les jugulaires, tout en prononçant des paroles sacrées.

Le Coran et la sunna spécifient les aliments haram ainsi que les conditions sous lesquelles certains aliments deviennent halal.

L'une des prescriptions Halal est que la bête soit égorgée consciente (donc non étourdie). C'est un point qui suscite la polémique.

Selon la grande majorité des musulmans, la bête doit être consciente au moment de l'abattage (il semble que certains mouvements acceptent l'étourdissement, sujet polémique en ce moment surtout en France et en Europe). La bête doit être placée en direction de La Mecque. Au moment de l'égorger, le sacrificateur, qui doit être musulman, doit prononcer "bismillah", ce qui signifie "Au nom de Dieu". On laisse ensuite le corps se vider de son sang jusqu'à la mort de l'animal.

Cependant, la viande des animaux abattus par les « gens du Livre », à savoir les Juifs et les Chrétiens, est permise (halal), sauf celle interdite par l'islam, notamment la viande de porc considérée licite par les Chrétiens mais proscrite dans la tradition juive et musulmane.

En principe tout ce qui provient de la mer est halal (licite).

Les interdits alimentaires de l'islam

* La bête morte
* Le sang
* La viande de porc
* L'animal abattu au nom d'un autre que Dieu.

Est-il permit de transgresser les interdits alimentaires ?

Oui, en cas d'absolue nécessitée, mais non pas par plaisir.

Dans le Coran, on trouve d'autres précisions :

Coran, Traduction de Kasimirski, Sourate 5 (La table)

4. Les animaux morts, le sang, la chair du porc, tout ce qui a été tué sous l'invocation d'un autre nom que celui de Dieu, les animaux suffoqués, assommés, tués par quelque chute ou d'un coup de corne ; ceux qui ont été entamés par une bête féroce, à moins que vous ne les ayez purifiés par une saignée ; ce qui a été immolé aux autels des idoles ; tout cela vous est défendu. Ne vous les partagez pas en consultant les flèches, car ceci est une impiété. Le désespoir attend ceux qui ont renié votre reli­gion ; ne les craignez point, craignez-moi.

La plus importante restriction calendaire de l'islam est le ramadan. Le ramadan commence à la 9e nouvelle lune du calendrier lunaire islamique. Pendant la durée d’une lunaison les personnes pubères et matures doivent s'abstenir de manger et de boire du lever au coucher du soleil. L'obligation s'interrompt en cas de maladie ou long voyage, sous réserve que les jours soient rattrapés dans l'année qui suit.

La nourriture casher est considérée comme halal, mais la réciproque n'est pas vraie :

Vous est permise la nourriture des gens du Livre, et votre propre nourriture leur est permise." Le Coran, sourate 5, verset 5

Pour le Judaïsme :

Les prescriptions alimentaires juives sont définies par les règles de la cacheroute.

Il s'agit d'un corpus de lois permettant de déterminer si un aliment est ou non permis à la consommation, en fonction de sa provenance et de sa préparation.
Les aliments en conformité à ces lois sont dits kascher (hébreu: כשר - se prononce kosheure), c'est-à-dire « convenables » ou « aptes » à la consommation. La Bible hébraïque interdit formellement aux Juifs de consommer des aliments impropres. Par contre l'utilisation de produits non-kasher dans un but non-alimentaire, par exemple l'utilisation de cornées ou d'insuline porcines, est tout à fait autorisé.

La cacheroute concerne essentiellement, encore que non exclusivement, les aliments d'origine animale, et implique le respect d'un rite d'abattage. Ce rite est évoqué dans le Lévitique, XI.1-9 et le Deutéronome, XIV, 3-20, mais sans y être décrit. De même, la plupart des lois sur lesquelles se fonde la Halakha (loi religieuse juive) se trouvent dans le Livre du Lévitique, mais avec pas ou peu de détails. Les modalités pratiques ont été longtemps orales, avant d'être couchées au début de l'ère chrétienne par écrit dans la Mishna et le Talmud, puis codifiées de façon plus fines dans le Choulhan Aroukh et par les autorités rabbiniques ultérieures.

La cacherout (hébreu : כשרות המטבח והמאכלים kashrout hamitba'h véhamaakhalim, « convenabilité de la cuisine et des aliments ») désigne le code alimentaire prescrit aux enfants d'Israël dans la Bible hébraïque. Elle constitue l'un des principaux fondements de la Loi, de la pensée et de la culture juives.

Elle regroupe d'une part l'ensemble des critères désignant un aliment (animal ou végétal) comme permissible ou non à la consommation et, d'autre part, l'ensemble des lois permettant de les préparer ou de les rendre propres à la consommation. Les aliments en conformité avec ces lois sont dits kascher, « aptes » ou « convenables » à la consommation.

Les lois de la cacheroute dérivent de divers passages de la Torah. Elles sont nombreuses et variées, et toutes ne sont pas universellement observées. Certaines ne le sont que par certains courants, d'autres dépendent du rite d'origine. Cependant, on peut en dégager les règles principales :

* Pour les aliments d'origine animale :
o ils doivent présenter des signes particuliers et, dans le cas de mammifères et de volailles, provenir d'espèces particulières;
o ils doivent être abattus de manière rituelle; les parties interdites à la consommation, dont le sang, le nerf sciatique et la graisse, doivent être retirées;
o « l'agneau ne peut être cuit dans le lait de la mère; »
o seul le lait des espèces licites peut être consommé[8].
* Pour les aliments d'origine végétale :
o ils doivent être vérifiés afin de s'assurer de l'absence de parasites visibles à l'œil nu;
o certains délais doivent être observés et, dans le cas du produit de la récolte en terre d'Israël, les dîmes doivent être prélevées.
- Des lois supplémentaires s'appliquent lors de jours saints spécifiques, et uniquement lors de ces jours.
- Certains aliments doivent être préparés en grande partie ou en exclusivité par des enfants d'Israël.
- Les plats non-kascher transmettent leur impureté aux ustensiles utilisés pour leur préparation, et ne peuvent servir pour les nourritures kascher auxquelles elles transmettraient à leur tour leur impureté. Certains ustensiles, selon les matériaux dont ils sont faits, peuvent être purifiés par application d'une flamme à une telle température que des étincelles jaillissent de l'objet si on le frotte (libboun), ou par immersion dans de l'eau bouillante (hagala).

- Nul Juif n'est censé ignorer les lois de la cacherouth pour son usage personnel. Toutefois, la surveillance et la supervision de la chaîne de production de nourritures destinées à autrui, par exemple pour la vente ou la restauration, doit être confiée à un expert en cacherouth.

Vous trouverez une liste des aliments casher (2009)
ICI

Pour vous faire une idée allez faire un tour ICI

Pour les Chrétiens :

Le Nouveau Testament interdit certaines nourritures. En effet, dans Actes des apôtres chapitre 15 versets 28 et 29 on y lit:

" Car il a paru bon au Saint-Esprit et à nous de ne vous imposer d'autre charge que ce qui est nécessaire, savoir, de vous abstenir des viandes sacrifiées aux idoles, du sang, des animaux étouffés, et de l'impudicité, choses contre lesquelles vous vous trouverez bien de vous tenir en garde. Adieu."

Cependant dans l'évangile de saint Matthieu, on trouve cette phrase : "Ce n'est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l'homme ; mais ce qui sort de sa bouche, voilà ce qui souille l'homme".

À l'époque où Jésus prononça ces paroles, tout le monde mangeait kascher, donc forcément rien de ce qu'ils mangeaient ne pouvait les souiller, mais ce sont les paroles de l'homme qui le souillent si elles sont blasphématoires.

Le christianisme des premiers siècles préconisait de s'abstenir de viandes sacrifiées. Il s'agit des animaux sacrifiés en l'honneur des dieux païens ; cette interdiction s'explique facilement : manger l'animal offert en sacrifice à des faux dieux revient à participer au sacrifice.

Les premiers chrétiens s'abstenaient souvent de toute viande. Certains moines ont conservé cette pratique jusqu'à nos jours. Certains peuples chrétiens ont gardé l'habitude de s'abstenir du sang des animaux et ne consomment de viandes que bien cuites.

Plus tard, dans le catholicisme, il s'agit surtout de réfréner les instincts de gourmandise. Nous parlerions plutôt aujourd'hui de « gloutonnerie », une traduction plus juste du mot grec serait "beuverie" qui correspond mieux à la notion exprimée dans la Bible. Quel que soit le mot retenu, l'excès qu'il désigne est l'un des sept péchés capitaux. Ce n'est pas le fait en soi d'apprécier la bonne chère (la bonne nourriture) qui est répréhensible mais celui de manger plus que de besoin, sans mesure : "Tout m'est permis, mais tout ne m'est pas utile" (Lettre de saint Paul).

Jésus a aboli tous les sacrifice et interdiction matériels, le sacrifice au sens chretien est spirituel, c'est pourquoi dans la logique chrétienne les interdits alimentaires n'existent pas même si par humilité et repentance certaine périodes doivent normalement être maigres (carême, vendredi etc).

La question des interdits revient dans les épîtres de St. Paul. Celui-ci établit une règle large en matière de nourriture dans sa première épître aux Corinthiens, tout en évitant de faire scandale. Il écrit:

"Tout ce qui se vend au marché, mangez-le sans poser de question par motif de conscience; car la terre est au Seigneur, et tout ce qui la remplit (Ps 24:1). Si quelque infidèle vous invite et que vous acceptiez d'y aller, mangez tout ce qu'on vous sert, sans poser de question par motif de conscience. Mais si quelqu'un vous dit: "Ceci a été immolé en sacrifice", n'en mangez pas, à cause de celui qui vous a prévenus, et par motif de conscience. Par conscience j'entends non la vôtre, mais celle d'autrui; car pourquoi ma liberté relèverait-elle du jugement d'une conscience étrangère? Si je prends quelque chose en rendant grâce, pourquoi serais-je blâmé pour ce dont je rends grâce (I Co 10:25:30)".


Au Moyen Âge, l'Église chrétienne encadre la quasi-totalité de la population du royaume de France, à l'exception de petits noyaux hérétiques – mais qui se veulent chrétiens – et de communautés juives au fort particularisme alimentaire. En théorie, aucun aliment n'est interdit dans l'absolu au fidèle : les tabous concernant le porc ou d'autres espèces animales que définissait l'Ancien Testament ont été abolis depuis longtemps et la papauté a fini par abandonner aussi la prohibition du sang et des viandes dans lesquelles le sang est resté. En revanche, tout chrétien doit conformer son alimentation à certaines restrictions, qui ont pour but sa pénitence, c'est-à-dire finalement son salut.

Jeûner pour assurer son salut :

Le jeûne consiste surtout à se priver de certains aliments, essentiellement la viande et les graisses animales, ainsi que, selon les époques ou les lieux, les laitages ou les œufs : les jours où ces restrictions s'appliquent peuvent être donc qualifiés de "maigres".

Depuis les premiers siècles du christianisme, l'Église a progressivement défini les circonstances où les chrétiens doivent s'abstenir de certaines nourritures. Destiné à préparer les fidèles à la fête majeure célébrant la Résurrection, le carême (du latin quadragesima, c'est-à-dire période de 40 jours) commence en Occident au milieu de la septième semaine avant Pâques, le mercredi dit des Cendres. S'y ajoute le vendredi – et souvent le samedi – de chaque semaine ; les dévots jeûnent aussi le mercredi. L'abstinence s'applique lors des veilles de fêtes, qui peuvent être plus ou moins nombreuses selon les diocèses. Enfin, au début de chaque saison de l'année (les "Quatre-Temps"), quelques jours sont jeûnés. Au total, c'est entre 100 et 200 jours par an (selon les années, les lieux et la piété de chacun) que l'on ne peut manger ce que l'on désire, soit entre le quart et la moitié de l'année.

Dans l'Hindouisme :

L'hindouisme étant une civilisation, et non une religion au sens strict et occidental du terme, le végétarisme n'a rien d'obligatoire pour être « hindou » et s'affirmer en tant que tel (quoique le terme hindou n'est sanctionné par aucun texte sacré « hindou » : il est issu des invasions islamiques pour nommer la population non musulmane de l'Inde).

Néanmoins, cette pratique alimentaire est indissociable d'une réelle observance de l'Ahimsâ, la non-violence hindoue, et est une des caractéristiques des Ârya (« Noble » en sanskrit), – communauté « pure » (au niveau des pratiques, il ne s'agit pas d'un « peuple » défini par un territoire ou d'une « nation »), « pure » par rapport aux Dasyu (« démons »), les Ârya, selon le Manusmṛti (les sûtra du Dharma), pratiquant en effet comme premier credo l'Ahimsâ, la « nolonté (non-volonté) de faire souffrir la moindre créature », qu'ils soient Brâhmanes (lettrés), Kshatriya (guerrier), Vaïshya (agriculteurs, artisans et commerçants), ou Shûdra (serviteurs).

En vertu du principe de non-violence (ahimsa) envers toute forme de vie, tous les Jaïns ainsi qu'une grande partie des bouddhistes, des hindouistes et des sikhs sont végétariens. Ce n'est toutefois une prescription absolue que dans le jaïnisme où la non-violence est l'idéal fondateur et fondamental. Certains courants taoïstes préconisent le végétarisme pour se purifier, sublimer le corps et devenir immortel. Les Rastafaris préfèrent une alimentation végétarienne, sans que cela soit un quelconque dogme.

Autres

Dans les campagnes taïwanaises, manger du bœuf était considéré comme immoral car il est parent du buffle, partenaire essentiel du paysan. L'interdit est encore respecté par une minorité de citadins.

Suivant la tradition, les amérindiens évitent de manger leur animal de totem ou au contraire le mangent dans un cadre rituel à des fins magiques ou lors d'une festivité.

Sources :

http://expositions.bnf.fr/
http://www.cisonline.org/
http://www.portail-religion.com/
http://www.orientalement.com/
http://fr.wikipedia.org/

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