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Nucléaire, aprés la catastrophe du Japon, existe-il une altérnative ?

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Speedou

Speedou
Admin
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On nous parle que le nucléaire est la panacée dans le domaine de la production d'énergie, mais existe-t-il une alternative réelle ?

Il semblerait que oui !

La Fusion froide


La presse a nommé fusion froide ce qui semblait être une fusion nucléaire réalisée dans des conditions de température et de pression ambiantes, utilisant des techniques dérivées d'une expérience réalisée par Martin Fleischmann et Stanley Pons en mars 1989. Cette expérience se caractérisait par un dégagement de chaleur non explicable par la quantité d'énergie électrique reçue (faisant fondre l'électrode).

Fusion froide est un terme populaire pour désigner le domaine de recherche sur les « réactions nucléaires à basse énergie ». Il est devenu commun suite à la controverse entourant l'expérience de Fleischmann et Pons en mars 1989. Plusieurs équipes de recherche ont alors tenté de reproduire leurs résultats, sans y parvenir. Un comité organisé par le Département de l'Énergie des États-Unis a alors conclu qu'il n'y avait pas de preuves convaincantes qu'une source d'énergie utile pourrait résulter de ces recherches. Cinq ans plus tard, la plupart des gouvernements et des chercheurs déclaraient ne plus poursuivre de recherches sur le phénomène.

Quelques chercheurs ont cependant continué les recherches et participé à des conférences internationales sur la fusion froide. Leur travaux, publiés dans des revues scientifiques réputées, confirmaient un dégagement d'énergie non expliqué, ou parfois des effets nucléaires. La précision des calorimètres a progressé, conclut en 2004 un second comité du Département de l'Énergie des États-Unis, et les indices de génération anormale d'énergie semblent moins contestables qu'en 1989. Cependant, selon son rapport, de nombreuses expériences sont mal documentées, l'amplitude du phénomène n'a pas augmenté, il est difficile à reproduire, et une origine nucléaire reste généralement exclue. Le comité s'est donc opposé au financement d'un programme de recherche majeur, et a identifié différents domaines de recherche susceptibles de résoudre la controverse scientifique.

Dans la nature, Louis-Nicolas Vauquelin a décrit en 1799 le phénomène de transmutation biologique, par lequel les poules transformeraient la silice en calcium lorsqu'elles vivent sur un terrain non calcaire afin de produire une coquille d'œuf dure. A partir de 1959, Corentin Louis Kervran, physicien, émet l'hypothèse que cette transformation de silice en calcium serait une manifestation du phénomène de fusion froide et publie 2 revues avec des phénomènes similaires

A quoi sert la fusion à froid ?

A produire de l’énergie, et pas qu’un peu : pour une même quantité de combustible utilisée, la fusion libère cinq fois plus d’énergie que sa collègue la fission ! Et la température exigée est la température ambiante, facile à générer donc. On est loin des centaines de degrés exigés pour réaliser une fission dans un réacteur nucléaire.

Maîtrise-t-on la fusion à froid ?


Pour l’instant, non. Même la fusion nucléaire « classique » n’est pas maitrisée à échelle industrielle (les militaires ont néanmoins construit et testé une bombe H fonctionnant par fusion de neutrons en 1952.)

Les essais d’obtention de fusion froide commencent en Argentine en 1950, sans succès. On n’en entendit plus parler jusqu’en 1989, quand deux physiciens, Fleishmann et Pons, annoncèrent directement aux journalistes du Financial Times qu’ils avaient obtenu dans leur laboratoire la fameuse réaction. La nouvelle fait l’effet d’une … bombe, sans jeu de mots. Lors d’une simple électrolyse, ils auraient enregistré un dégagement de chaleur important qui serait le fruit d’une fusion d’atomes !

Le principe est simple : deux électrodes de palladium sont plongées dans une solution d’eau lourde, contenant du deutérium (un hydrogène à deux protons). Sous l’effet du courant électrique, la molécule H2O s’électrolyse : les atomes de deutérium se séparent de l’oxygène et s’accumulent autour de l’anode, pour ensuite fusionner entre eux et produire de l’hélium, en libérant énormément d’énergie.

La fusion nucléaire, qui permet au Soleil et aux étoiles de briller, serait-elle à portée de main ? Pourrait-on créer de l’énergie à partir d’eau de mer, qui contient de larges quantités de deutérium ?

Hélas, ce fut trop beau pour être vrai : la plupart des scientifiques qui ont voulu vérifier leur expérience n’ont jamais réussi à retrouver exactement leurs résultats, les chaleurs émises n’étant pas prouvées comme provenant bien d’une fusion d’atomes. Et l’expérience de Pons et Fleishmann ne fut jamais validée, bien que d’autres scientifiques considérèrent leur expérimentation comme valable. Comme souvent, la communauté scientifique est divisée !

Du reste il n'y a pas que les scientifiques qui sont sceptiques; dans le milieu des grosses entreprises,lobbies, universités,..... où les enjeux économiques sont énormes.

Où en sont les scientifiques aujourd’hui ?

Il faut bien avoir conscience que découvrir et maitriser cette réaction, c’est s’engager dans une nouvelle ère pour l’Humanité. Imaginez un instant pouvoir produire de l’énergie propre, en toute sécurité (la fusion ne présente pas de risque d’explosion, surtout à froid), à prix dérisoire, pour tous les habitants de la planète ! Par conséquent les recherches sur sur la fusion froide sont loin d’être terminées…

En 2005, une équipe californienne parvint à enregistrer un faible flux de neutrons, preuve de fusion, lors d’une expérience quelque peu différente dans un bain de gaz de deutérium. Mais ils restèrent à des années-lumière des quantités nécessaires pour des applications industrielles.

En France, à Cadarache, non loin d’Aix-en-Provence, un réacteur expérimental a été implanté. Nommé l’ITER pour International Thermonuclear Experimental Reactor, ce réacteur qui devrait être opérationnel en 2018, servira à déterminer s’il est possible oui ou non d’utiliser la fusion comme source d’énergie.

Lors de la sixième conférence annuelle sur la fusion nucléaire à froid qui s'est tenue à Hokkaïdo au Japon, plusieurs scientifiques ont fait état de la meilleure preuve en date de la fusion nucléaire à froid : une réaction nucléaire produite à des températures proches de la température ambiante.

La nouvelle de la " découverte " de la fusion nucléaire à froid s'est répandue dans le monde en mai 1989, après que deux électrochimistes travaillant à l'Université de l'Utah, aux Etats-Unis, aient annoncé avoir réussi à produire une réaction nucléaire à des températures comprises entre 30 et 100 degrés centigrades. Le professeur Martin Fleishmann, de l'Université de Southampton, en Grande-Bretagne, et le professeur Stanley Pons, de l'Université de l'Utah, ont fait passer du courant électrique à travers deux électrodes immergées dans une solution d'eau lourde, c'est-à-dire contenant de l'hydrogène lourd, ou deutérium, dont le noyau renferme un proton supplémentaire. On trouve de l'eau lourde, sous cette forme, en abondance dans l'eau de mer. Au cours de l'expérience, le deutérium et l'oxygène de l'eau ont été séparés par le courant électrique. Il s'est alors produit une accumulation du deutérium autour de l'électrode négative et de l'oxygène autour de l'électrode positive. Selon leur théorie, lorsque les noyaux de deutérium ont été suffisamment nombreux, ils ont fusionné pour former de l'hélium, ainsi qu'un excès de chaleur supérieur à la quantité de chaleur initialement requise pour déclencher la réaction.

M. Fleishmann et S. Pons expliquent que cet excès de chaleur tient à l'existence d'une réaction de fusion nucléaire à froid. Ils n'ont cependant pu clairement détecter la présence d'hélium qui aurait confirmé leur thèse.

Les implications sous-jacentes à cette expérience étaient considérables. Par définition, le processus de fusion nucléaire à froid ne requiert pas de températures extrêmes, comme pour la fusion nucléaire à chaud où elles atteignent plusieurs millions de degrés. De plus, le processus qui a libéré d'énormes quantités d'énergie n'a nécessité qu'un appareillage simple, et le taux de radiations du type de celles générées dans les réactions de fission (le processus de division de l'atome par collision, utilisé dans les centrales nucléaires et dans les bombes) s'est avéré quasiment nul. Si l'on pouvait exploiter la technologie de la fusion à froid, le monde tel que nous le connaissons en serait transformé. Imaginez que votre maison fonctionne avec de l'énergie produite à partir de conteneurs d'eau. Dans ce cas, nul besoin de sociétés de distribution d'énergie. Et un simple tuyau d'arrosage suffirait pour recharger votre voiture. L'environnement ne souffrirait pratiquement d'aucune pollution. Ce serait la fin de l'ère du pétrole.

Cependant, M. Fleishmann et S. Pons n'ont pu reproduire leur expérience que dans 30 à 50 pour cent des cas. Dans le monde entier, d'autres scientifiques ont tenté de reproduire l'expérience, sans grand succès. Un certain nombre d'équipes de recherche et d'éminents scientifiques, dont plusieurs physiciens nucléaires impliqués dans des projets de fusion nucléaire à chaud, on jugé " frauduleuses et erronées " les découvertes de M. Fleishmann et S. Pons. Les deux chercheurs ont même été accusés de pratiquer une " mauvaise science ". En 1990, ils ont quitté les Etats-Unis pour poursuivre leurs travaux en France, grâce à des concours financiers japonais. Toutefois, certains chercheurs ont entrepris leurs propres projets de recherche sur la fusion à froid dans différents pays.

Une revue de physyque "peer-review", The European Physique Journal Applied physics, publie un article d'une équipe dirigée par le Dr Pamela Mosier-Boss dans lequel elle indique : «Nous avons obtenu une démonstration flagrante que des réactions de fusion se produise à température ambiante, Nos observations sont très significatives et il s'agit à notre connaissance du premier rapport scientifique montrant que des neutrons hautement énergétiques ont été produits par dispositif de réaction nucléaire à basse énergie»

Le Dr Mosier-Boss travaille au sein d'un laboratoire de recherche affilié à la marine américaine : le SPAWAR (Space and Naval Warfare Systems Command), situé à San Diego, en Californie. Il ne s'agit pas à proprement parler de plaisantins ou de chercheurs farfelus.

Rappelons que la fusion nucléaire est un processus par laquelle deux noyaux atomiques s'assemblent pour former un noyaux atomiques pour former un noyau plus lourd, en dégageant de forte quantités d'énergie. Mais pour fusionner, les noyau doivent surmontent la répulsion due à leurs charges électrique toutes deux positives.

Bien que les applications du brevet Pons et Fleischmann aient déjà envisagé l’usage d’eau légère (ajoutée à l’eau lourde) dans leur batteries, et que Matsumoto (au Japon) ait pris des mesures sur des sous-produits nucléaires lorsqu’on utilise l’eau légère, c’est seulement Randell Mills de Lancaster (PA), qui, le premier, a démontré que seules des batteries où l’on utilise des carbonates alkali-métal, pouvaient produire un excédent de chaleur. On continue d’évaluer avec le plus grand soin sa théorie.

Les Drs Bush et Eagleton de l’Université Polytechnique de Californie, à Pamona, ont étoffé le travail sur la Fusion Froide à eau légère. Le Dr Bush a modifié son TRM (Transmission Resonance Model) pour expliquer que les résultats dus à l’eau lourde ainsi que ceux à l’eau légère s’expliquent en termes de fusion hydrogène-métal-alkali. Récemment, ils ont démontré que, dans ce type d’expérience, des transmutations précises d’éléments alkali par fusion avec l’hydrogène produisent des éléments ayant un proton de plus dans le noyau.

Ensuite, comme chez Barc, à Trombay, en Inde, les Dr Reiko Noyota, Ohmori et Enyo à l’Université d’Hokkaido, ont recommencé des essais avec ces types de batterie. Généralement, elles produisent 20 à 70 % de chaleur excédentaire. Elles fonctionnent avec tous les métaux "alkali" (comme les carbonates habituellement). On utilise des cathodes en nickel, en or, en argent et en étain, qui vont des fils et plaques aux matériaux poreux tels que le nickel poreux utilisé dans les batteries cadmium nickel.

Dans une petite batterie, on a obtenu jusqu’à 300 % de chaleur. Donc on peut dire que cette technologie peut être commercialisée. De nouvelles découvertes suite à d’autres essais permettront de mieux comprendre le dépassement de la barrière de Coulombs, la structure de base de la matière, le contrôle des réactions nucléaires dans / sur un réseau métallique, et la possibilité de stabiliser des nucléides radioactifs. Autant de raisons importantes pour accélérer le financement de futures recherches.

Cette fusion produisant une énergie « propre » et illimitée...., sera toujours en butte aux grands intérêts financiers !

Grâce à une campagne massive, les barons du nucléaire du monde entier ont tenté de bloquer toute recherche liée à cette expérimentation. Mis à part la question de savoir si la fusion froide a réellement l’importance que lui donnent ses promoteurs, il y a au moins une chose indéniable: il pourrait s’agir là d’une source d’énergie réaliste et économique fonctionnant de manière décentralisée et échappant ainsi à l’emprise monopolistique des grands fournisseurs d’énergie. Un autre aspect qui explique la violence de la campagne pourrait résider dans l’utilisation de cette technique dans une nouvelle génération d’armes. Voici le résumé d’un reportage réalisé par Maurizio Torrealta pour «rainews 24» et diffusé le 24 avril 2008.

L’enquête thématique de la station de radio italienne «rainews 24» tire son origine d’une étrange coïncidence: Deux journalistes qui travaillaient apparemment sur deux questions différentes se sont rendu compte qu’ils s’occupaient en réalité du même problème mais qu’ils avaient choisi deux approches différentes.

Le premier, Angelo Saso, menait une enquête sur l’histoire étrange d’un groupe de chercheurs de l’Enea (Ente per le Nuove Tecnologie, l’Energia e l’Ambiente – Agence nationale italienne pour les nouvelles technologies, l’énergie et l’environnement) qui avait vérifié les conditions requises pour reproduire l’expérience sur la fusion froide. Malgré le succès obtenu par ce groupe de chercheurs, leurs résultats avaient été passés sous silence, sans la moindre explication ou critique.

Le deuxième journaliste, Flaviano Masella, enquêtait sur la présence inexplicable d’uranium enrichi dans un cratère de bombe israélienne dans le sud du Liban.
Il s’est avéré que ces deux sujets, à première vue sans rapport, étaient liés. Désireux de mieux comprendre l’attitude irritante de l’Enea concernant le «Rapporto 41» qui confirmait la validité de la fusion froide, Angelo Saso a décidé d’interviewer Martin Fleischmann, l’un des inventeurs de la fusion froide. Dans cet entretien, il a appris que la vraie raison de l’hostilité envers la fusion froide résidait dans le fait que l’incorporation d’hydrogène dans des métaux lourds concernait d’importants développements récents en matière d’armement et que ceux-ci étaient top secret. Or, si on réussissait à incorporer du deutérium dans l’uranium plutôt que dans le palladium, l’énergie dégagée, une fois atteint un certain seuil de charge, serait 800 fois plus élevée que celle nécessaire à cette charge. On obtiendrait ainsi de l’énergie sous forme de chaleur, de micro-ondes et de rayons gamma qui généreraient des micro-fusions et des micro-fissions nucléaires.

L’autre journaliste, Flaviano Masella, avait découvert, alors qu’il enquêtait sur la radioactivité dans la région de Khiam, au Liban, que dans un échantillon provenant du cratère de la bombe, le rapport U238:U235 était de 108:1. Cela indiquait qu’il y avait eu manifestement un léger enrichissement de l’uranium, tandis que dans d’autres cratères la relation était de 138:1, ce qui correspond à peu près au rapport observé dans l’uranium naturel. Le journaliste avait également appris que lors d’une analyse de l’urine d’un habitant de la région, on avait trouvé de l’uranium enrichi. Ces résultats sont peu compatibles avec l’hypothèse d’une explosion nucléaire classique. En revanche, ils pourraient s’expliquer par les nouveaux processus physiques que Fleischmann avait décrits dans l’interview accordée à Angelo Saso.

D’autres contradictions rendent plus difficile encore la résolution de cette énigme. Sur d’autres champs de bataille, on a trouvé un taux significatif d’U236, élément qui n’existe pas à l’état naturel. Même s’il est occasionnellement produit dans des réacteurs nucléaires, il s’agit de pourcentages 10 000 fois inférieurs à ceux mesurés sur les champs de bataille. Qu’est-ce qui s’est donc passé sur ces champs de bataille? Quelles nouvelles armes y ont été utilisées? Quels processus physiques ont été employés? L’uranium appauvri (UA) est-il en cause? Certaines recherches de nos journalistes d’investigation à propos des brevets sur des bombes à l’UA semblent en effet aller dans cette direction.

(Traduction: Horizons et Debats)


Il paraît opportun en cette période où l'énergie devient un souci mondial d'apporter cette information à l'attention du public, et d'annoncer que d'autres voies que celles connues existent. Que rien n'est encore joué, et que d'autres possibilités existent. Il n'y a pas que le pétrole, le gaz, le nucléaire et les éoliennes. Peut être que dans quelques années, si nous nous en donnons les moyens une autre source d'énergie inépuisable et propre sera accessible à tous.


sources :

http://www.quanthomme.info
http://fr.wikipedia.org
http://www.lebardessciences.com
http://www.taraquebec.org
http://www.actu-belette.com
http://www.jeanpaulbiberian.net/
http://www.science-et-magie.com/ALCHIMIE/alchimie02.htm

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