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Que faut-il penser de la N-VA

2 participants

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1Que faut-il penser de la N-VA Empty Que faut-il penser de la N-VA Ven 17 Juin - 16:25

Speedou

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La Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA, en français, l'Alliance Néo-Flamande) est un parti politique belge né de la dislocation de la Volksunie en 2001. Ce parti a été à deux reprises membre du gouvernement flamand. Il est devenu, en juin 2010, le parti le mieux représenté à la Chambre des Représentants de l'État fédéral belge

La revendication principale de la N-VA est l’indépendance de la Flandre, dans le cadre de l’Union européenne. Le parti revendique cette indépendance de manière politique, ce qui est confirmé par le programme qui indique que la paix est la priorité absolue.


Traduction de la version néerlandaise du programme de la N-VA.(site web N-VA)

Une nouvelle Alliance FLAMANDE pour six millions de flamands

S'appuyant sur les 45 années de succès du programme de la Volksunie, la N-VA (Nouvelle Alliance flamande) a entamé un programme novateur et ambitieux : un nationalisme flamand à visage humain pour le 21ème siècle

Pas de glorification de son propre peuple, pas d’atermoiements sur le passé mais une vision claire des défis présents et futurs: la mondialisation et ses effets sur le citoyen et sur la société, l'individualisation et le déclin des relations sociales, le déficit démocratique de la Belgique et son intégration européenne, migration et intégration, la (sur)puissance des medias, le fonctionnement de la démocratie parlementaire, le vieillissement de la population ..

Les thèmes d'une nouvelle (nation) Flandre reçoivent une réponse claire au travers des principes énoncé dans le nouveau programme flamand : liberté et responsabilité, une Flandre sans complexe, cohérente, déliée et ouverte sur le monde.

Dans un monde global complexe et de plus en plus oppressant, et de plus en plus soumis aux règles des marchés, la N-VA offre à chaque flamand une solution confortable. C'est pourquoi la N-VA lutte pour une meilleure vie en société, pour une communauté flamande libre maîtresse de sa destinée dans sa globalité : libre et responsable.

Partout, à l'échelle du village et du monde, nous oeuvrons pour une nouvelle citoyenneté dans la solidarité. Les clés sont le respect de la personne humaine et de la liberté d'une part et d'autre part la responsabilité et le soucis de la communauté.

Comme région unique et non liée, indépendante des groupes de pression et des pouvoirs financiers, la
N-VA se profile comme le syndicat défenseur de l'intérêt général des flamands.

Les questions sociales, économiques et écologiques reçoivent des réponses dans l'intérêt de la communauté [flamande], sans oeillères idéologiques de droite ou de gauche.

Des lignes directrices claires et sans tabous.

Dans ses efforts pour améliorer la bonne gouvernance et la démocratie, la N-VA a donc logiquement opté pour une Flandre indépendante, état membre d'une Europe démocratique.

Ceci est dans l'intérêt général de la communauté flamande.

Il s'agit donc du renforcement de la démocratie parlementaire, de la lutte contre l'insécurité, d'une politique active pour l'emploi, de la stimulation de la créativité et de l'esprit d'entreprise, de la prospérité d'une Flandre aux mains des flamands, de l'intégration des immigrés, d'une éducation flamande tournée vers l'avenir et le sens de la famille, de la solidarité à l'intérieur et à l'extérieur de la Flandre.

A travers son programme, la N-VA offre de former un groupe avec tous ceux qui comme elle veulent rester indépendants.

Un programme présenté à six millions de flamands pour une politique orientée dans l'intérêt des flamands.

Ce programme n'est pas basé sur un vernis extérieur ou une réthorique creuse mais bien sur du concret.

La N-VA est un parti doté d'un programme simple pour des personnes qui font ce qu'elles disent.

Un parti flamand pour six millions de flamands !

La traduction française donnée sur le site de la N-VA

Alliance Neo-Flamande

La "Nieuw-Vlaamse Alliantie" (Alliance Néo-Flamande - N-VA) est un nouveau parti politique, fondé en automne 2001. Comme successeur de la Volksunie (1954-2001) elle peut se vanter d'une tradition politique établie. L'objectif de la N-VA est le même que celui de son prédécesseur: donner corps, d'une façon moderne et démocratique, à un nationalisme flamand.

Sur le plan politique, elle plaide pour une république flamande, état membre d'une Europe confédérale et démocratique. Le parti estime qu'une communauté forte d'une part et une coopération internationale bien développée d'autre part, répondent le mieux aux défis du 21ième siècle. Le niveau gouvernemental belge s'évaporera entre ces deux pôles et prouve depuis longtemps d'être en contradiction flagrante avec une gouvernance efficace.

En plus, la N-VA défend le droit de l'autodétermination des peuples comme principe de base du droit international public, décrit dans article 1 de la Charte des Nations Unies. La Flandre répond à toutes les normes du droit international pour devenir un état: une population permanente; un territoire avec des frontières extérieures claires (?); un parlement directement élu et un gouvernement désigné par ce parlement et une reconnaissance comme état (membre) grâce à des traités conclus avec d'autres pays.

Un état de taille limitée mais montrant une forte cohésion peut bel et bien aller à la rencontre du monde. Ce n'est pas une coïncidence que les petits états, bien gouvernés, sont caractérisés des niveaux de bien-être et de prospérité les plus élevés du monde..
La Flandre n'a aucune raison de se sous-estimer: avec 6 millions de Flamands, nous occupons la 95ième place entre les ± 193 pays du monde en ce qui concerne la population; sur le plan économique la Flandre connaît le 24ième produit national brut plus élevé du monde.

Les idées politiques de la N-VA ne sont pas un objectif en soi mais l'instrument de travail par excellence pour réaliser la prospérité, le bien-être et le développement culturel de tous les habitants de la Flandre.
Un état flamand est le cadre pour une cohésion forte et pour une société de grande(s) valeur(s). Le fil rouge dans la vision du N-VA est la conviction qu'une société a autant besoin de valeurs morales que de valeurs matérielles.


Si l'on prend en compte un texte antérieur à celui-ci rédigé par A.Hitler qui définit dans Mein Kampf (« Mon combat »), écrit pendant sa détention (1923-1924), le projet nazi. Nourri d'anti-égalitarisme et d'antiparlementarisme, hostile à la démocratie, il prônait la purification de la race aryenne et l'élimination des Juifs. Grand orateur, il allait élever cette mystique obsessionnelle à la hauteur d'une mission quasi sacrée. Profondément marqué par la défaite de 1918 et par le traité de Versailles, vécus comme des humiliations, il entendait redonner à l'Allemagne toute sa grandeur et récupérer les territoires perdus..

Hitler imputa aux Juifs la responsabilité du désastre économique et les accusa d'être les propagateurs d'idéologies néfastes comme le marxisme ou le libéralisme. Il inscrivit ainsi l'extermination des Juifs dans le programme politique national-socialiste, tout en affirmant qu'une régénération du sang aryen du Reich devrait comprendre l'exclusion des non-Allemands des fonctions publiques, l'interdiction des mariages mixtes et la stérilisation des malades incurables. Lorsqu'il aurait atteint ces buts, le Reich pourrait être guidé selon le Führerprinzip par le Reichsführer qu'incarnerait Hitler, à qui les Allemands seraient liés par un serment de fidélité (institué par la loi du 26 janvier 1937). La réalisation de ce programme incluait l'annexion des territoires de langue germanique (notamment en Pologne et en Tchécoslovaquie), la création d'une « grande Allemagne » et d'un « espace vital » (Lebensraum), en Europe, zone d'influence économique et politique destinée à l'expansion de la « race » allemande..

Ici, ne parlons pas de juifs mais simplement de francophones !

Les articles sont comparables mais édulcorés pour ne pas permettre de faire d'amalgame, ou de comparaison.


Le groupuscule auquel Hitler a adhéré se structure et se fait connaître en Bavière, préparant ainsi sa future conquête du pouvoir total. Dès le départ c'est bien cet objectif qui est fixé, "aussi le Parti national-socialiste doit-il, aujourd'hui, se pénétrer de ces pensées ; il doit orienter son organisation intérieure vers l'action pratique, pour pouvoir non seulement donner un jour à l'État des directives, mais pour pouvoir lui fournir le corps constitué de son propre État".

Le programme nazi comprenait 25 points :


1. Nous exigeons la réunion de toute l'Allemagne dans une seule Grande Allemagne sur la base du droit à l'autodétermination naturelle.

2. Nous exigeons l'égalité des droits entre le peuple allemand et les autres nations, ainsi que la révocation des traités de paix de Versailles et Saint-Germain.

3. Nous exigeons des terres et des territoires (colonies) afin de nourrir notre peuple et d'y implanter notre surplus de population.

4. Seuls les membres de la nation peuvent être citoyens de l'Etat, c'est-à-dire ceux qui sont de sang allemand, quelques soient leurs croyances,ainsi les juifs ne peuvent être membre de la nation.

5. Les non-citoyens ne peuvent vivre en Allemagne qu'au titre d'invités et sont sujets aux lois relatives aux étrangers.

6. Le droit de vote n'appartient qu'aux citoyens de l'Etat. En conséquence nous exigeons que ne tous les mandats publics ne soient détenus que par des citoyens. Nous dénonçons les habitudes corrompues du Parlement consistant à attribuer des postes en considération d'appartenances partisanes et sans référence à la personnalité ou aux capacités.

7. Nous exigeons de l'Etat qu'il accomplisse le premier de ses devoirs consistant à assurer la subsistance de ses citoyens. S'il ne lui est pas possible de nourir tous les Allemands alors les étrangers devront quitter le Reich.

8. Toute immigration non-allemande doit être arrêtée. Nous exigeons que tous les étrangers entrés en Allemagne depuis le 2 août 1914 quittent immédiatement le territoire.

9. Tous les citoyens doivent posséder les mêmes droits et les mêmes devoirs.

10. Le premier devoir de tout citoyen est d'exercer une activité physique ou intellectuelle. Ces activités ne doivent pas porter atteinte à l'intérêt général mais découler des obligations dues à l'appartenance à la communauté, elles doivent aller dans le sens du bien commun. En conséquence nous exigeons :

11. L'abolition de tous les revenus qui ne sont pas issus du travail, et notamment la suppression de l'esclavage du taux d'intérêt.

12. En considération des énormes sacrifices en vies et en biens qui découlent de toutes guerres, l'enrichissement personnel consécutif à l'exploitation de la guerre doit être considéré comme un crime contre la nation. En conséquence, nous exigeons la confiscation de tous les profits de guerre.

13. Nous exigeons la nationalisation de toutes les très grandes entreprises (trusts).

14. Nous exigeons le partage des profits dans les grandes entreprises industrielles.

15. Nous exigeons le développement de la prise en charge par l'Etat des retraites pour le grand âge.

16. Nous exigeons la création et le développement d'une classe moyenne, la nationalisation par les collectivités des grands magasins et leur mise à bail pour des prix modérés à de petits commerçants, ainsi qu'un accès plus favorable des petits commerçants aux marchés publics.

17. Nous exigeons une réforme agraire, l'autorisation de l'expropriation sans compensation des terres pour des buts communaux, l'abolition des fermages et l'interdiction de toute spéculation sur les terres.

18. Nous exigeons que soient poursuivis tous ceux qui exercent des activités portant atteinte à l'intérêt général, ceci s'applique aux criminels de droit commun, aux usuriers, aux profiteurs, etc ... Ils seront passibles de la peine demort quelques soient leurs croyances ou leur race.

19. Nous exigeons la substitution de la loi allemande à la loi romaine, laquelle sert un ordre mondial matérialiste (marchand).

20. L'Etat doit envisager la reconstruction totale de notre système d'éducation national (en cherchant à l'ouvrir à tous les travailleurs en activité qui pourront ainsi obtenir une meilleure éducation et donc de l'avancement).Le programme de tous les établissements éducatifs doit être rendu compatible avec les besoins de la vie pratique. L'objectif de chaque école doit être de fournir à chaque élève dès son plus jeune âge la capacité de comprendre ce qu'est la nation et l'Etat (à travers un programme d'éducation civique). Nous exigeons que chaque enfant doué issu de parents pauvres, quelque soit leur classe et leur profession, puisse être formé aux frais de l'Etat.

21. L'Etat doit assurer l'augmentation de l'état sanitaire de la nation par la protection des femmes et des enfants. Ceci est interdisant le travail des enfants, en faisant la promotion de l'effort physique en rendant obligatoire la gymnastique et les sports, par un soutien des clubs sportifs de jeunes.

22. Nous exigeons l'abolition de l'armée mercenaire de métier et la création d'une armée populaire (de conscription).

23. Nous exigeons que les hostilités soient lancées contre le mensonge politique délibéré et sa dissémination dans la presse. Afin de créer une presse nationale allemande nous exigeons : (a) que tous les éditeurs, tous les journalistes de presse germanique soient de nationalité allemande ; (b) qu'aucun journal étranger ne puisse paraître sans la permission de l'Etat et qu'ils ne paraissent pas en langue allemande ; (c) que la participation étrangère au financement ou à l'influence des journaux allemands soit interdite par la loi et que contrevenir à ce principe implique l'interdiction des journaux en question ainsi que la déportation des étrangers impliqués. La publication de journaux non conformes au bien collectif de la nation doit être interdite.Nous exigeons que des poursuites soient entreprises les tendances de l'art, de la littérature et plus généralement culturelles qui portent atteinte à la nation.

24. Nous exigeons la liberté du culte dans la mesure où les religions ne menacent ni n'offensent les sentiments de la race germanique. Le Parti, en tant que tel, soutient un Christianisme positif, sans en favoriser une dénomination particulière. Il combat l'esprit matérialiste juif que ce soit chez nous ou ailleurs, il est convaincu que notre nation ne peut se porter bien que par le respect du principe selon lequel l'intérêt commun passe avant l'intérêt individuel.

25. Pour synthétiser tout ceci en un programme, nous exigeons la création d'un Etat central fort sur tout le Reich ; l'autorité politique du Parlement sur tout le Reich et ses organisations ; et la formation de corporations pour appliquer la législation du Reich sur tous les états allemands.

Il comportait quatre axes principaux :


nationalité allemande


Le programme en donnait une définition biologique : c'était la loi du sang qui était déterminante. La "race aryenne" devait être protégée et développée par l'encouragement de la natalité, l'éducation et la culture physique. Pour les non-aryens (principalement les juifs) était prévue une législation raciste : interdiction d'exercer une fonction publique ou des activités de presse, contrôle de l'immigration, expulsion des juifs en cas de crise.

vocation de la nation allemande


Les frontières établies étaient remises en cause et le programme revendiquait l'abrogation des traités de 1919 qui réglaient les frontières, la conquête d'"espace vital", l'annexion de l'Autriche, de la Haute-Silésie, du Schleswig, des Sudètes et de l'Alsace-Lorraine pour former une "Grande Allemagne" comprenant les Allemands vivant hors des frontières. Le programme exigeait l'abrogation du traité de Versailles et l'égalité des droits pour la nation allemande.

organisation de la nation allemande

Le programme prévoyait un État centralisé dirigé par le principe du Führer : "Ein Reich, ein Volk, ein Führer", le droit au travail des Allemands, le service militaire obligatoire (interdit par le traité de Versailles), le contrôle de l'éducation, de la presse, de l'Art et de la littérature. La liberté religieuse était tolérée "à condition qu'elle ne mette pas en danger l'existence de l'État et qu'elle accepte le principe de la supériorité de la "race germanique" ".

programme économique et social

Le programme économique et social était anticapitaliste et antilibéral ; il prévoyait la protection des classes moyennes menacées par le capitalisme, le droit et devoir de travailler, la nationalisation des trusts, l'obligation pour les patrons de grandes entreprises de faire participer les employés aux bénéfices, et une réforme agraire consistant en la réquisition sans indemnités des grands domaines. Ces points n'ont pas été rédigés par Hitler. Les aspects socialistes furent nuancés en 1927 par la reconnaissance de la propriété privée, le parti étant financé par des industriels.


.Organisation

L'organisation du parti était très hiérarchisée et non-démocratique.
-Au sommet, Hitler, le Führer.
-Les SS, garde privée de Hitler, créée en 1925.
-Les SA, sections d'assaut, organisation paramilitaire servant de moyen d'intimidation.
-La propagande, dirigée par J. Goebbels, qui mobilisait les masses au moyen du journal du parti et de réunions publiques.
-La PO1 (organisation politique n°1), qui avait pour mission d'attaquer et de saper le gouvernement.
-La PO2, gouvernement fantôme.
-Des circonscriptions, les Gaue, divisées en Kreise, puis au niveau local en Ortsgruppen, eux-mêmes subdivisés en groupes d'immeubles, furent créées en Allemagne, en Autriche, à Danzig et dans les Sudètes.
-Organisations nazies : jeunesses hitlériennes, groupes socioprofessionnels, ligue des femmes allemandes, etc. ...

Cette structure fut créée à partir de 1925, lors de la réorganisation du parti par Hitler ; elle se remplit pendant la crise par l'afflux dans le parti des classes moyennes appauvries, et le NSDAP devint ainsi un instrument redoutablement efficace de conquête du pouvoir.

Pour la N-VA

La N-VA a obtenu 29,5 % des voix, avec 27 élus, dont deux députées issues de l'immigration, sur les 150 que compte la Chambre des députés. Ce qui constitue un séisme politique pour le pays. Ce score est sans précédent. Jamais un mouvement prônant l'indépendance de la Flandre n'avait remporté un scrutin législatif fédéral. Le meilleur résultat à ce jour avait été obtenu en 1971 par la Volksunie avec quelque 19 %. La NVA devient le plus grand parti du royaume. « Ce sont des résultats extraordinaires » , a clamé Bart De Wever. Il a appelé au « changement » en Belgique avec une réforme visant à donner une autonomie accrue à la Flandre dans le domaine économique et social, tout en cherchant à rassurer ceux que son programme inquiète, en Belgique et à l'étranger. M. De Wever a affirmé que l'indépendance de la Flandre n'était pas sa revendication immédiate, même s'il envisage que la Belgique puisse disparaître à terme. De quoi compliquer un peu plus la recherche d'une nouvelle coalition gouvernementale entre partis flamands et francophones, puis surtout d'un compromis sur l'avenir du pays. Les négociations en ce sens pourraient durer des mois. (plus d'un an)

Les principaux personnages de ce parti :

Bart De Wever

Bart De Wever (21/12/1970) est historien de formation et a été un moment rattaché à la KU Leuven en qualité de collaborateur scientifique. En 2004, il est élu membre du Parlement flamand puis devient, peu de temps après, président de parti. Il participe avec fruit aux négociations pour la formation d’un gouvernement flamand.

En 2006, De Wever est élu comme membre du conseil communal d’Anvers et en 2007, il passe du Parlement flamand à la Chambre des députés. Il dirige la délégation N-VA dans les négociations pour la formation d’un gouvernement fédéral en 2007, mais cette fois sans succès.

En 2009 et en 2010, il conduit la N-VA vers deux victoires spectaculaires d’affilée aux élections et fait de la N-VA le plus grand parti de Flandre et même de Belgique. En ce moment, il siège au Parlement flamand ainsi qu’au Sénat comme sénateur communautaire.
Lors des dernières élections de 2010, il obtient personnellement 785.776 voix de préférence, un score que n’ont réussi à atteindre avant lui que quelques politiciens.

Etudiant en Histoire à la l’Université catholique de Louvain (Katholieke Universiteit Leuven), Bart De Wever devient le rédacteur en chef de 1991 à 1992 du KVHV d’Anvers ("Katholiek Vlaams Hoogstudenten Verbond"), une association d'étudiants catholiques flamands, proche de l'extrême droite, et un membre actif du KVHV de Louvain de 1993 à 1994 (lire aussi: Des étudiants nationalistes flamands manifestent à Bruxelles contre les « Rats français »). Il a dirigé le KVHV d'Anvers lors de ces études...

Bart De Wever rédige des articles scientifiques sur le "Verdinaso" ("Verbond der Dietse Nationaal-Solidaristen", "Union des national-solidaristes thiois"), un ancien parti belge et néerlandais, fondé en 1931 par Joris Van Severen, qui militait pour la constitution d'un Etat thiois, formé de la Flandre et des Pays-Bas. Ce parti a défendu les politiques d'Hitler et de Mussolini.

En 2007, le KVHV s'est déjà distingué en lançant un appel à manifester dans les rues de Rhode-Saint-Genèse. But : exiger la sacro-sainte scission-immédiate-de-l'-arrondissement-électoral-de-B-H-V. Aux côtés du KVHV lors de cette manifestation : le Voorpost. Brûlant des drapeaux belges, ils ont également réclamé l'indépendance de la Flandre. Les dirigeants du Vlaams Belang étaient présents en nombre lors de la manifestation.

Le cercle d'étudiants n'en est pas à son coup d'essai. EN 2009, le KVHV avait accueilli Oswald Van Ooteghem, un ancien officier SS. Dans le cadre de cette invitation, le KVHV plaidait alors pour une amnistie aux collaborateurs...


(Oswald Van Ooteghem est le fils d’Herman van Ooteghem et Gaby Guenter. Il provient d’une famille nationaliste flamande, son père travaille pour l’Abwehr et sera détenu pour le restant de sa vie après la guerre.
1941: Oswald interrompt ses études pour rejoindre le front de l’est avec la Légion flamande. Il devient correspondant de guerre pour les Allemands et est promu officier SS du bataillon de la jeunesse flamande. Après la guerre, il se cache en Allemagne et prend une fausse identité. Il s’appelle désormais Hans Richter.Il revient en 1949 et est condamné à 3 ans de prison. Il y passe effectivement 1 an dans la Nieuwe Wandeling à Gand, où il travaille pour le bureau de dessin que dirige son père.Après sa libération, il devient membre du conseil provincial et sénateur pour la Volksunie)


D'après Résistances, plusieurs dirigeants du Vlaams Belang proviennent des rangs de la KVHV. Une petite recherche sur le web nous apprend que Bruno Valkeniers, le président du VB depuis février 2008 a par exemple fréquenté cet espèce de cercle.


Geert Bourgeois

Geert Bourgeois est un avocat et homme politique belge né le 6 juillet 1951 à Roulers.

Politiquement, Bourgeois est un nationaliste flamand. Ancien membre de la Volksunie, il a fondé la Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA), regroupant les membres les plus radicaux de l'ex-Volksunie, partisans d'une Flandre indépendante.

Après une carrière à tous les échelons de la Volksunie, parti prédécesseur de la N-VA, Geert Bourgeois (06/07/1951) devient député fédéral en 1995. Il s’occupe essentiellement de matières juridiques et de questions communautaires. Après l'éclatement de la Volksunie, Geert Bourgeois et ses partisans créent en 2001 la Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA), dont il est le premier président jusqu’en 2004.
De 2004 à 2008, Geert Bourgeois est Ministre flamand des affaires administratives, de la politique étrangère, des médias et du tourisme. Le 11 juillet 2009, il devient vice-ministre-président flamand et Ministre flamand des affaires administratives, de l'administration intérieure, de l'intégration civique, du tourisme, du patrimoine immobilier et de la périphérie flamande de Bruxelles. Bourgeois incarne la connaissance des dossiers, la fiabilité et la cohérence dans la politique de la N-VA.


Il n'y a rien a dire de plus sur cette personne, si ce n'est que élue démocratiquement elle refuse de nommer des bourgmestres des communes de la périphérie bruxelloise, éluent eux aussi démocratiquement.


Frieda Brepoels

Frederika Marie Joseph (Frieda) Brepoels, née le 7 mai 1955 à Mopertingen est une femme politique belge flamande, membre du N-VA.
Elle est architecte (1978).

Elle fut architecte indépendante (1978-1993).

Elle se revendique pro-européenne pour une flandre indépendante dans une Europe forte. Herman Van Rompuy, président du conseil européen, s'est exprimé sur cette position "Je ne connais aucun parti nationaliste qui soit pro-européen".

Danny Pieters


Danny Pieters (né à Uccle, le 13 octobre 1956) est un homme politique défenseur de la cause flamande et professeur de droit de la sécurité sociale à l'Université catholique de Louvain. Il siège comme sénateur pour la Nieuw-Vlaamse Alliantie. En 2010, il fut le premier nationaliste flamand à être élu Président du Sénat de Belgique.


Pendant ses études à Leuven, Danny Pieters était membre du "Katholiek Studentencorps te Brussel", qui fait partie du "Katholiek Vlaams Hoogstudentenverbond", tandis que pendant ses études à Cologne, il a été membre de la "K.D.St.V. Rheinland Köln", qui relève du "Cartellverband der katholischen deutschen Studentenverbindungen".

Il s'est vu décerner le titre de ‘Mejor juslaboralista internacional del año 2000’ par l'association asturienne des experts en droit social.

Depuis 2005, il est membre de l' "Academia Europeae".

le KVHV (Katholiek Vlaams Hoogstudentenverbond), une organisation d’étudiants catholiques flamands d’extrême droite. Rappelons qu'une bonne partie des nationalistes flamands provient des rangs du KVHV, dont le Président de la N-VA, Bart De Wever.

Jan Peter Ch. Peumans

Jan Peter Ch. Peumans, né à Maastricht, le 6 janvier 1951 est un homme politique flamand de la province du Limbourg pour le parti N-VA.
Il est sociologue de formation.

Son oncle Juul (Jules) qui, (d’après un article dans Humo du 15 décembre 2009), était gewestleider (chef de région) du VNV (Vlaams Nationaal Verbond) antisémite et national-socialiste.

Le VNV était une succursale de la Gestapo (il y avait aussi une Vlaamse Gestapo, très active) qui envoyait les SS flamands sur le front de l’Est et organisait la délation et la déportation. Parce que voyez-vous, dès 1941, le leader du VNV prônait « l’extirpation du Juif du corps populaire sain flamand » Et en 1942, le supérieur de l’oncle de Jan Peumans, un certain Theo Brouns, gouwleider (Gauleiter) du VNV au Limbourg, écrivait (toujours selon Humo) un long article sur « La Figure du Juif », qui se terminait par : « Nous allons préparer au Juif une fin, une catastrophe, plus épouvantable que tout ce qu’une génération ou un peuple eût connu. La Judéité s’effondrera comme un dragon, râlant, crachouillant, dans son sang baveux. » Ça, c’était en 1942. Un an plus tard, des milliers de belges de confession juive étaient déjà morts grâce notamment à l’assiduité des dénonciateurs du VNV. Les membres de cette organisation — dont le périodique ne laissait pas le moindre doute sur son engagement : il s’appellait « de Nationaalsocialistische VNV » — et plus encore ceux qui occupaient une fonction précise dans cette organisation nazie, comme l’oncle de Jan Peumans, étaient donc des cibles légitimes pour la résistance (flamande, il faut le rappeler) qui avait, du reste, déjà perdu de très nombreux membres au moment où elle décida enfin de prendre les armes en 1943.

La Flandre nationaliste s’est reconstruite après la Deuxième Guerre mondiale en réaction à la répression d’après-guerre avec la création du parti "la Volksunie" dont la N-VA est l’héritière. La surenchère nationaliste et réactionnaire sera ensuite à la base de la création d’un parti d’extrême droite dissident de la Volksunie: le "Vlaams Blok" (actuellement Vlaams Belang) fondé par Karel Dillen, ami de Maurice Bardèche. L’esprit de rancoeur et de revanche se situe d’une part au niveau linguistique et d’autre part, la frustration issue de la répression et de l’épuration après la Deuxième Guerre mondiale a joué un rôle essentiel (alors même que les leaders de la collaboration ont échappé aux peines les plus lourdes). Il faut toutefois remonter à la Première Guerre mondiale et même au-delà pour mieux comprendre l’origine de cette idéologie nationaliste. Les activistes flamands influencés par un certain Pangermanisme d’avant-guerre collaborent pendant l’occupation en 1914-18, encouragés par une première "Flamenpolitik" des allemands (la politique de l’occupant allemand favorable aux Flamands collaborateurs). En 1917, le Conseil de Flandre (Raad van Vlaanderen) fut crée comme un véritable gouvernement-parlement fantoche à la solde des allemands sur base ethnique, linguistique, corporatiste et théocratique. L’indépendance de la Flandre fut proclamée sous l’auspice des Allemands, sur proposition de Borms (leader activiste), par le Conseil de Flandre en séance du 22.12.1917 (!) par 55 voix contre 2 abstentions. Cela pourrait paraître prémonitoire vu sous l’angle de la situation politique actuelle. Dans l’entre-deux guerres la revanche des activistes et leur demande d’amnistie mènera tout droit à la collaboration avec les nazis. Cette collaboration sera encouragée par une deuxième Flamenpolitik pendant la Deuxième Guerre mondiale. L’idéologie du parti nationaliste prédominant pendant la guerre, le VNV (Vlaams Nationaal Verbond) était d’essence flamingante et fasciste. Après-guerre les partis nationalistes flamands, dont la Volksunie, tenteront de minimiser et d’occulter en particulier cette idéologie fasciste de la VNV dans le cadre de leurs revendications d’amnistie en faveur des anciens collaborateurs (alors que les revendications d’amnistie concernant les collaborateurs wallons, non moins nombreux, sont inexistantes en région francophone).


Les nationalistes flamands espèrent un divorce indolore à la Tchécoslovaque avec évaporation de l’Etat belge dans l’Europe, attitude fort méprisante et très peu courageuse. Pour rassurer les journalistes européens De Wever utilise un langage pseudo-darwinien "l’indépendance de la Flandre par une évolution et non par une révolution". Le parti veut former une Forza Flandria regroupant le centre et la droite nationaliste. La N-VA s’est renforcée lors des dernières élections par des transfuges du CD&V (parti social chrétien) et du Vlaams Belang d’extrême droite, qui considèrent pouvoir mieux propager leur idéologie par le biais d’un parti d’apparence respectable. L’obstacle majeure et de taille pour le rêve séparatiste de la pensée unique nationaliste flamande reste la région bruxelloise et sa périphérie ainsi que la sécurité sociale qui demeure fédérale. Il faudra tenir compte également avec les dissensions traditionnelles au sein du camp des nationalistes qui ne tarderont pas à se manifester - et espérons le - avec un sursaut citoyen des flamands dans l’urgence de la menace de l’extrémisme. La tension politique devra fatalement monter pour que les mentalités évoluent. Le plus grand danger réside dans la banalisation de ce parti, qui se situe dans la zone grise des partis démocratiques. Cette banalisation a dès lors déjà fait son oeuvre en Flandre, encouragée par les médias. La banalisation politique de Geert Wilders aux Pays-Bas incite en tout cas à l'extrême vigilance concernant l'évolution politique belge. Pour ceux qui veulent bien voir, les indices d'extrémisme de cette pensée unique flamande ne manquent pas.

La Flandre est entrainée par un nationalisme qui trouve son origine dans le Pangermanisme du dix-neuvième siècle et dans les deux "Flamenpolitik" des Allemands, favorables aux collaborateurs pendant les deux Guerres mondiales. La Flandre est malade de son amnésie et de son amnistie, elle ne s'offusque même plus quand on traite des compatriotes de parasites (l'échevin des finances de La Panne traite les touristes wallons de parasites, décembre 2010), ou quand on brutalise des citoyens dans leur domicile (le maïeur de Wezembeek-Oppem est intimidé à son domicile par le Taal Aktie Komitee, janvier 2011).


Il ne faut pas généraliser.............

Sources :

http://fr.wikipedia.org
http://www.balkan-belgium.be/
http://www.horaz.com
http://www.territoires-memoire.be
http://libertariens.chez.com
http://resistanceallemande.online.fr
http://extremedroitefrancophone.blogspot.com
http://www.gekleurdverleden.be
http://blog.marcelsel.com
http://international.n-va.be



Dernière édition par Speedou le Lun 26 Sep - 11:44, édité 1 fois

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